Chapitres 11 et 15
J'avoue que plus j'avance dans le roman, plus je le dévore. Mais en mode "lapin en plein phare". (Étourdie par ma propre naïveté concernant les rapts en série d'enfants "nordiques".) C'est assez fou car il y a plein d'informations que l'on connaît, mais dont on a jamais pris le temps de les creuser. Les procédés employés, le rôle qu'a pu avoir un (ou plusieurs) "Konrad" dans tout ça, nous assomment littéralement.
La privation de "pensée libre" est une arme qui serre la gorge et le cœur. Malgré quelques soubresauts (d'interrogation interne légitime), la loyauté de Klein reste toujours solide comme le roc. C'est donc très dur à digérer. Hitler s'y est entendu pour créer de très jeunes monstres à gueule d'anges.