Un petit jeu
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Re: Un petit jeu
Je ne pu rien dire, rien faire...
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Re: Un petit jeu
Je fus pétrifié sur place.
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Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et...
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Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de ...
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Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonné...
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Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées, je commençais à suffoquer...
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Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées, je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, je m'écroulais au sol.
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Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées, je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, je m'écroulais au sol.
Une lumière si vive, si différente du soleil.J'essayais de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son ...
Une lumière si vive, si différente du soleil.J'essayais de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son ...
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- Inscription : sam. 08 sept., 2012 6:38 pm
Re: Un petit jeu
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées, je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, je m'écroulais au sol.
Une lumière si vive, si différente du soleil.J'essayais de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son. Je me contentais alors de regarder ce magnifique spectacle tout en ...
Une lumière si vive, si différente du soleil.J'essayais de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son. Je me contentais alors de regarder ce magnifique spectacle tout en ...
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- Inscription : jeu. 25 nov., 2010 6:30 pm
Re: Un petit jeu
Pour le délire, reprenons le texte entier. J'ai juste modifié quelques mots pour le sens des phrases.
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée...
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée...
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- Inscription : sam. 18 août, 2012 6:41 am
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m'
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m'
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- Inscription : lun. 30 avr., 2012 11:15 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur
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- Messages : 26
- Inscription : sam. 13 oct., 2012 11:37 am
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'
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- Messages : 90
- Inscription : ven. 18 mai, 2012 3:06 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J' oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m' ...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J' oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m' ...
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- Inscription : mer. 11 avr., 2012 6:16 pm
Re: Un petit jeu
[quote="Catherina"]Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était déshormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain....
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était déshormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain....
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- Inscription : dim. 11 nov., 2012 6:04 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle ...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle ...
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- Inscription : mer. 23 nov., 2011 11:55 am
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour ...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour ...
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- Inscription : mer. 12 sept., 2012 5:56 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliait même pour quelle raison j'était venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi...
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- Inscription : sam. 10 sept., 2011 11:02 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi...Et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir ......
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi...Et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir ......
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- Inscription : sam. 04 févr., 2012 6:43 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir. Ces trois mots : je te connais, avaient suscités en moi une panique immense.
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir. Ces trois mots : je te connais, avaient suscités en moi une panique immense.
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- Inscription : jeu. 01 nov., 2012 12:03 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir. Ces trois mots : je te connais, avaient suscités en moi une panique immense. je tombe dans ce monde illusoire, ces ailes deviennent noires, en un condor majestueux elle se transforme.
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir. Ces trois mots : je te connais, avaient suscités en moi une panique immense. je tombe dans ce monde illusoire, ces ailes deviennent noires, en un condor majestueux elle se transforme.
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- Inscription : sam. 02 févr., 2013 1:49 pm
Re: Un petit jeu
Le crépuscule commençait, en cette douce soirée de mai. Je sentis que les ténèbres me prenaient dans leurs bras pour m'emporter vers les abysses de leur être...
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir. Ces trois mots : je te connais, avaient suscités en moi une panique immense. Je tombe dans ce monde illusoire, ces ailes deviennent noires, en un condor majestueux elle se transforme. Je m'évanouis, mais je me réveille furtivement, laissant derrière moi les lames verdâtres de tout à l'heure.
Séparée de tout, je me sentais comme prisonnière de ce monde étrange dans lequel j'angoissais, car je ne percevais pas même l'horizon.
Ainsi, je fus submergée de larmes qui menaçaient de trahir ma tristesse et ma peur devant tous ces inconnus. Alors la grande prêtresse avança vers moi.
De son ombre imposante, elle me faisait penser à la grande statue de la place de Londres.
Elle m'effrayait, c'était sans doute ses pieds de grande taille qui me faisaient croire qu'elle allait m'écraser, ou bien son regard opaque comme celui d'un spectre qui, une fois posé sur vous, vous glace les sangs. Mais sa voix douce comme le miel me rassura et je me laissai berner. Je n'aurais jamais dû, mais je fis un pas vers elle. Elle avait réussi à m'hypnotiser avec ses grands yeux couleurs ivoire.
C'est alors qu'elle avança son visage vers le mien et me murmura : "je sais d'où tu viens..."
Je ne pus rien dire, rien faire... Je fus pétrifiée sur place.
C'est alors qu'un bruit effroyable retentit et mon cœur fut transpercé par un millier de petites lames verdâtres, des lames empoisonnées. Je commençais à suffoquer lorsque je vis une vive lumière se diriger vers moi, et je m'écroulai au sol.
Cette lumière était si vive, si différente du soleil... J'essayai de demander de l'aide mais ma bouche refusait d'émettre un son.
Je me contentai alors de regarder ce magnifique spectacle tout en reculant à tâtons. Sous mes yeux, la prêtresse s'était transformée en une immense colombe qui m' envoutait avec ses yeux de couleur dorée où je me perdis rapidement . J'oubliais même pour quelle raison j'étais venue, cet être m'émerveillait, c'était désormais ma raison de vivre sur cette Terre. Puis soudain je vit qu'elle s'approcha avec une telle rapidité vers moi pour me dire des mots encore plus terrifiant que les premiers : "je te connais... " et à ce moment là, elle fondit sur moi et m'enveloppa de ces ailes bleues couleurs saphir. Ces trois mots : je te connais, avaient suscités en moi une panique immense. Je tombe dans ce monde illusoire, ces ailes deviennent noires, en un condor majestueux elle se transforme. Je m'évanouis, mais je me réveille furtivement, laissant derrière moi les lames verdâtres de tout à l'heure.