Jeu d'écriture

[kequose]

- On tourne !
Tout le monde se tut et occupa son poste. Anna avança, et fit claquer ses hauts talons sur le faux sol. Ses longs cheveux blonds tombèrent en cascade sur ses épaules et s’entremêlèrent à chacun de ses pas. Une jupe enjolivait ses hanches, sa peau était fine et douce. Ses grands yeux comme parsemés de mille émeraudes lui donnait un air charmant et calme. Elle portais dans ses bras une chemise en carton, qu’elle serrait contre son cœur. Je la filmais dans les moindres détails, en savourant chaque regard que je lui apportais à travers l’objectif de ma caméra. Comme convenu : elle croisa Paul, fit tomber ses affaires, il lui ramassa, ils se regardèrent, coup de foudre…
Le souffle d’Anna se fit aussi lent que la brise, un vent artificiel vint remuer comme de brindilles sa belle chevelure. Elle se rapprocha de notre acteur en miment fort bien une maladresse incroyable, la bouche des deux comédiens se rapprochèrent pour ne se trouver à présent qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. C’était au-dessus de mes forces, frustré, j'enfonça mon index sur le niveau supérieur de ma caméra ou se trouvais un bouton rouge et arrêta le tournage du film.
- Coupé !
Les deux acteurs qui avaient fermé les yeux lors de se baiser qui n’eu pas lieu les rouvrir aussi précipitamment. Des cris de désapprobation se firent entendre dans la petite ruelle de notre tournage. Anna s’approcha de moi :
- Mais, Scott ! On l’avait ! Elle était parfaite cette scène !
- Non. Ça faisait trop faux.
- Ah bon ?
Je ne pris pas la peine de répondre, elle venait de comprendre par mon regard qui m’eut trahi, que, pour moi voir un baisé, même factice, d'elle pour un autre homme se produire sous mes yeux m’était insupportable.
En un éclair Anna s’approcha de moi et avec toute la surprise que je pus avoir elle plaqua ses lèvres contre les miennes. Je sentis malgré mes paupières clauses qu’elle prennais un fou plaisir à faire cela. Mes collèges poussèrent des sifflements d’encouragement. Heureux, j'attrapa sa nuque en touchant quelques-uns de ses cheveux et continua notre amoureux échange.
À ce que j’en sache, ce n’était pas de la comédie ce baisé !

Dites moi ce que vous en pensez please

Pour le suivant :

=> Un Italien
=> Qui visite Paris
=> En 2012

[lecorbeau]

J'adore!!Dis-moi si tu ne peux pas continuer STP parce que c'est trop bien!!!Si tu veux bien continuer bien sur!!
Bravo!!

[kequose]

Euh ...
En fait je saurais pas trop quoi ajouter si je continuais ...
Désolée !!!!!!!

[lecorbeau]

Pas grave!Ca reste bien quand même!

[kequose]

Merci !!!
( Encore désolée de pas pouvoir continuer ! )

[lachosequibrille]

Moi aussi ça m'a beaucoup plu bravo!

[lecorbeau]

Mamma mia!!! Me voici enfin a Paris! Paris,cette ville qui m'a tant fait rêvé! Ah! Je respire l'air pur! Enfin,euh,l'air pur c'est beaucoup dire quand même!! Par ma mamma! La pollution a assis son règne sur Paris. Je m'avance sur les trottoirs pleins de goudron et de cigarettes. Je suis sur les Champs Elysées comme on les appelle en France. Je passe devant les plus grandes boutiques de mode comme a Milan. Ah!!La nostalgie de mon beau pays me gagne! Julia m'interpelle:
-Tonio,viens voir un peu par ici!
Je la rejoint. Julia, c'est ma soeur. Elle me montre un tas de ferraile qui tient par la grâce du Pape.
-Qu'est ce?,je lui demande.
-Mamma mia!!!hurle-t-elle,C'est la Tour Eiffel. Tu es vraiment.....
Je lui souris. Je ne connais presque rien de la France. Je la prends par la main et l'emmene dans le premier magasins qui vient. Elle s'émerveille devant toutes les parures. Soudain,par curiosité,je soulève un bout de papier qui pend,une "étiquette":
-Madre dios! Une petite fortune cela,crie-je.
--Tonio,m'intepelle à nouveau Julia.
-Oui!
-GoTonio!
Je la suis. Nous continuons notre chemin ensemble,petit à petit. Soudain,je m'arrête et lui dit:
-Tu sais,Julia. Cette Tour Eiffel,c'est un peu notr Tour de Pise à nous,non?
-Oui,sauf qu'elle ne penche pas,me répond-t-ell en riant.
Je rie a mon tour. Ah la France!

une jeune femme enceinte
en 1915
chez elle

[teter49770]

La jeune femme était assise dans son canapé à place unique. Elle avait la tête entre les mains et les genoux repliés contre elle. Des larmes coulaient doucement le long de ses joues. Sur la table, une lettre, tachée de boue; sale, avec des éclaboussures rouges écarlates. La lettre était tâchée d'autre chose aussi. D'eau. Ou plutôt de larmes.
Qu'est ce que cette lettre si sale pouvait avoir avec cette dame si belle et si distinguée ? Ce qu'il y avait d'écrit dessus. écrit en petites lettres fines et hésitantes :

"Ma chère Satya. C'est moi, Stéphane. J'ai réussi à t'écrire entre deux attaques, là où il y a le moins de risques pour moi.
C'est la première fois que j'écris depuis... 6 mois. Six mois. Depuis six mois que tu me manques ma chérie, depuis six mois que tu es ma seule raison de vivre, ou plutôt ma seule raison de survivre.
Il fait nuit. Une nuit noire et terrifiante. Hier, un officier s'est fait manger un bout de pied par un rat. Ils sont énormes ma chérie, et tout aussi affamés que nous.
Mais qu'est ce que je te racontes ?! Je ne veux pas t'inquiéter ma belle Satya, je ne veux pas te faire peur.
Mais en même temps, je ne peux te cacher la vérité.
Ma belle Satya, je t'aime tellement, pour toi, je pourrais me dresser au milieu des balles des allemands et mourir sans gémir.
Ma belle Satya, je deviens fou. Il y a des éclats d'obus fichés dans ma jambe, la puanteur des morts en décomposition, cette saleté qui me colle à la peau nuit et jour et toujours et encore du bruit, du bruit, et du bruit. Un bruit d'enfer. Un bruit de mort.
Je deviens fou. Je rêve de la maison, je rêve de ta chaleur, de l'éclat dans tes yeux, de ton étincelle de vie. Je revois ton doux sourire, je ressent la douceur de ta peau contre ma main.
J'arrive à peine à dormir, et quand je réussit, c'est pour rêver de toi, et de me réveiller en me disant que je ne te retoucherais peut être jamais.
Ta voix d'ange, ton odeur, ton calme presque irrationnel, je le revois, je le rêve, je me l'imagine sans cesse.
Et si tout redevenait comme avant ? Si il n'y avait jamais eu cette fichue guerre, et ces allemands ? Et si nos deux états avaient sût se parler, plutôt que de se faire la guerre et tuer plusieurs milliers d'hommes ?
Oh, Satya, si j'avais pût, je ne t'aurais jamais abandonnée. Pas là. Pas maintenant. Pas du tout.
Je t'aime.
Oh Satya, oh, ma belle, est-ce que tu sais seulement à quel point tu me manques ?
Et moi... Et moi, est-ce que je te manques ? Est-ce que tu penses à moi ? Est-ce que... Est-ce que tu m'aimes toujours ?
Que de questions sans réponses, et ce silence forcé me fait souffrir. J'ai une panne sèche. Je veux revoir tes cheveux blonds si soyeux, éclatants au soleil, je veux... Je te veux, toi, devant toi. Tu me manques, toi, toujours prête à me calmer, toujours prête à m'aimer.
Demain, nous aurons une attaque. Je serais en première ligne. J'ai n'ai a peu près aucune chance de m'en
sortir.
Adieu ma chérie, ma belle Satya,
Je t'aime. "

Juste à côté de la lettre, un coupon vert était déposé. Dessus, il y avait inscrit : " Stéphane Prince, Mort lors d'une prise de tranchée adverse."

La jeune femme se leva. Elle se mise à hurler, pleurant en même temps. Elle tenait son ventre à deux mains et s'effondra au sol.
Haletante, elle se releva et se dirigea vers la cuisine. Là, elle pris un couteau, décidée a rejoindre son compagnon dans l'au delà.

Ce n'est pas très gai, j'avoue (et pas super non plus ^^') Mais à vous d'imaginer la suite (qui sait, quelque chose va peut être l'empêcher de se tuer ^^)

Un chien
Abandonné dans la rue
Dans une nuit glaciale d'hiver

[rouge]

Je suis d'accord avec Sheireen98.
Tu as su aligner les mots avec beaucoup de soin et cela rend ton histoire très attachante.

[teter49770]

Merci ^^'
Je suis désolée Sheireen98 je voulais pas te faire pleurer
Et si vous êtes pas inspiré par mon thème, je peux changer sans problème ^^

[lecture4reveur]

Une rafale de vent passa, provoquant le malheureux gémissement du chien. La froideur de cette nuit glaciale le faisait trembler et glacer des dents; son pelage abîmé ne le protéger en rien des intempéries. Couché dans la rue aux pieds de son maître qui buvait dans l'espoir vainc de se réchauffé, il observait les passants qui défilaient devant lui bien qu'il les distinguait mal, à cause de sa mauvaise vue. Il voyait quand même qu'il y avait des enfants qui s'approchaient de lui pour le caresser avant d'être tiré en arrière par leurs parents. Il y en avait d'autres qui marchaient devant lui en toute indifférence et d'autres encore qui râlaient parce qu'il gênait le passage et sentait, par-dessus le marché, assez fort. Rares étaient ceux qui déposaient des sous dans la coupelle ou qui lui souriaient. Mais pourquoi l'auraient-ils fait? Ce n'était qu'un chien après tout.
Il se resserra un peu plus contre la jambe de celui qui l'avait adopté. Cette soirée était rude, pas seulement à cause du froid mais aussi parce que l'animal et son propriétaire se sentaient, en ce 24 décembre, terriblement seuls. Abandonnés à leur triste sort, mis sur les bancs de la société, ils avaient l'impression que personne ne pensait à eux. Et pourquoi quelqu'un l'aurait-il fait? Ce n'était qu'un chien et un SDF, après tout.
Le berger poussa une dernière plainte avant de s'endormir, espérant trouver un peu de réconfort dans le doux mondes des rêves...

En effet, très beau texte Teter = )

Prochains thèmes:

Une mariée
A la mairie
Avant de dire oui

Bonne chance!^^

[kaya333]

Il fait froid..., il fait toujours froid en février.
Je m'appelle Janice, je suis une fille de bonne famille, je n'ai que 14 ans et a cause de ma mère, qui ma mit sur les nerf je me prommenne seul dans la rue a neuf heure du soir. Je suis dans un cartier pas bien réputé, si mon père apprenait sa il me tuerai avant que quelqu'un vienne le faire a sa place, mais qu'es ce que je raconte mon père ne viendra jamais. Je n'ai pas peur des gens, j'ai peur du froid, mais je ne veux surtout pas rentrer chez moi, j'ai sur le dos un malheureux tee shirt et un pull qui ne tient pas bien chaud, en même temps il doit au moins faire -10 ce soir. Je ne vous ai pas parlé de mes chaussure, mais si je le fait vous aller surement vous moqué, ... je porte des balerine et je n'ai pas de chaussette. Je suis en train de mourir de froid.
Je m'avance dans une allé éclairé (la seul dans ce qartier) je suis courageuse mais faut quand même pas pousser. Je cherche un endroit un minimum a l'abrit de toute cette neige , un hall d'immeuble ou un truc du genre. Je crois que j'ai trouvé, il y a un parc juste ici et il y a une maisonnette, vous savais les toutes petites maisons qu'il mettent dans les air de jeux pour enfant, celle ou on a du mal a rentrer dedans a six ans, et pourtant c'est construit pour les enfants de six ans mais ils devaient croire qu'on a tous le corps d'enfant de deux ans.
Je passe la tête par la minuscule fenêtre et... il y a une grosse masse noir je n'arrive pas a savoir ce que c'est, il bouge, c'est un chien. A croire que lui aussi a été livrer a lui même. Il sort de son abris et remue la queu, on dirait qu'il est content de me voir. Je le carresse et il me sautte dessus en me léchant. Je suis morte de rire et lui murmure a l'oreille.
_ On ne serra plus jamais seul tout les deux.

voilà! pas génial mais bon
une vieile dame
dans sa cuisine
qui réfléchie

[kaya333]

oh mince j'ai mis tellement de temps a écrire que j'avais pas vu que tu avait écrit lecture4reveur vraiment désoler

[lecture4reveur]

C'est pas grave^^
On a qu'à prendre ton thème

[fruitbasket83]

Devant se grand bureau en marbre ou document officiel s'éparpiller j'allais dire oui a l'homme que j'aime et que je chérie le plus au monde. Autour de moi ma famille et mes amies réunie il me regarde avec un regard admirateur, ma mère et mon père son fier de moi car j'ai enfin trouvé l'amour ma sœur aussi est là elle a signé un papier pour être mon témoin : elle a les larmes au yeux elle se penche vers moi et me dit a l’oreille << Tu a gagné ton pari >>. Je ris a oui ce fameux pari quand j'avais 13ans et elle 15ans sur celle qui se marierais la première. Ma meilleur amis qui elle est une vrai séductrice est déjà en train de faire du charme a mon cousin elle me regarde et me fait un clin d’œil genre pour dire << C'est moi la prochaine donc, lance bien le bouquet !!! >> : mais c'est surement pas prés d'arriver. Je baisse les yeux sur le bouquet c'est moi qui est choisie les fleurs : ce sont des fleurs de cerisier c'est en souvenir avec notre rencontre. J'étais assise sous un cerisier et il a pris une photo de moi sans que je le voie, il c'est excuser et on a commencer a perler et il m'avait dit que je ressembler a une déesse sous ce cerisier c'est pour sa qu'il m'avait prise en photo. Ma vue se brouille, je pleure je m'essuie vite les yeux pour s'arretter de pleurer sinon mon mascara va couler et je ressemblerais a une fille qui joue dans les films d'horreur lol. Le maire prononce les mots que j'attendais depuis le jour ou je les rencontrer, il dit oui et je répond oui juste avant que nous nous embrassions dans un baiser fougueux et que nos larmes s’entremêlent.

<< VIVE LES MARIERS !!!! >>


une femme
décongeler
se retrouve dans le futur

[fruitbasket83]

Je suis désoler j'ai fait le thème de lecture4rêveur

[kequose]

Je ne me souviens de rien. Juste de ce moment ou mon cœur à recommencer de battre, ou mon sang à recommencer à pulser dans mes veines et quant à ma plus grande surprise mes orteils ont eu la joie de pouvoir s’agiter. J’essayais d’avancer pour sortir de cette grotte, mais je ne savais plus marcher : A chacun de mes pas, mon énergie s’en allait et me faisait m’effondrer comme de pierre sur le sol glacé. À plusieurs reprises je me remis debout mais inutilement : mes genoux rencontrés aussi rapidement le sol en un bruit sinistre. Persévérante je réessayais, et m’effondrais derechef. Ma tête se mit à tourner.
Je rouvrais de nouveau les yeux et pris conscience que je venais de tomber dans les pommes. Une main me saisie à hauteur d’aisselles. Celle-ci forte comme un roc.
Elle me souleva comme l’on soulèverait une plume puis me porta à une machine. Ce n’était ni un avion, ni un hélicoptère. Enfin, sa y ressembler étrangement seulement elle n’avais pas d’ailes, et tout était en verre. Deux hommes à l’intérieur de ce drôle d’engin me regardaient et m’adressèrent un sourire des plus radieux. Trop secouée pour leur répondre, aucun son ne sortit de ma bouche, mais mes yeux se firent plus grands encore, tant j’étais impressionnée. Je me retournai après mettre fait trainer sur plus de 20 mètres pour regarder qui donc pouvaient bien me soutenir ainsi. C’était un homme, avec un costume d’une couleur qui n’existait pas à mon époque, soit dit le 21ème siècle. Ses yeux étaient d’un vert émeraude. Et, étrange coïncidence : les pilotes de la machine de verre aussi ! L’homme qui me portait m’installa à l’arrière de « l’avion ». C’était un petit « avion », son envergure était égale à celle d’une automobile. Le pilote devant moi, proféra quelques mots à un micro, qui était aussi petit qu’une mine de crayon : « L’expérience a fonctionné ! On ramène la fille ! » D’une voix que je ne me reconnus pas, j’interrogea les pilotes sur cette « expérience ». Ils m’expliquèrent qu’à mon époque le gouvernement avait mis en place un projet top-secret qui était de congeler un être humain. Malheureusement c’était tombé sur moi. D’après les hommes aux yeux verts, le gouvernement de mon époque voulait savoir si, si l’ont congelé les humains et donc , par conséquent leurs organes avec, par le fait qu’ils ne veilleront pas et mourront temporairement ils vivraient après plusieurs décennies ? Leur conclusion était positive. Un pilote au nez aquilin et aux cheveux en brosse acheva son récit par cette phrase.
- Vois-tu, à cette heure de l’an 5123 : le remède de la vie éternelle n’existe toujours pas. Enfin, si. Grâce à toi il existe !
Ma vie se résumait donc à une expérience du gouvernement ?

Vous pouvez me dire si vous trouvés sa bien s'il vous plaît ?
N'ésitez pas à me dire ce qu'il ne vas pas !!!!

Pour le prochain :

La Joconde ( Mona Lisa )
Qui visite le musée du Louvre
Au 21ème siècle

[kequose]

Oui, effectivement j'ai un peu de problème avec le temps du récit ...
Mais merci quand même

[Nobody-book]

La seule fois où Léonard de Vinci m'a fait sourire, c'était parce qu'il avait un morceaux de salade coincé entre les dents.
Mais là, je n'ai plus du tout envie de sourire. Comme le monde à changé ! Paris, que mes amies osent appeler ville lumière et plus belle du monde est triste et terne. J'ai décidé de la visité parce qu'à ce que l'on m'a dit mon tableau y était entreposé. Dans le musée du Louvre, je crois.
Aujourd'hui, pour mon dernier jour de visite, je vais m'y rendre, et voir ce que le monde à fais de moi. Après une heure et demi de queue et quelques euros dépensés, je pénètre dans la partie du musé où mon portrait est entreposé. J'essaye de me frayer un chemin parmi la foule de touristes qui sont venues ici rien qui pour me voir et m'observe. J'ai le visage serein et un léger sourire me déchire le visage.
Mon dieu ! C'est pour moi que tout ces gens sont venues ici !


Un concour de beauté
Pour extraterrestre
un humain y participe

[fruitbasket83]

Je me préparer dans la loge avec toutes les autres participante de notre pays Marsix qui est sur Mars je participe a un concours de beauté car je suis une très belle extraterrestre moi je n'ai qu'un seul œil comparer a la fille a coté de moi qui en a 6 mes, le mien lui est magnifique : il est multicolore normalement les yeux n’ont que 1,2 ou 3 couleurs. Je suis exceptionnel j'étais déjà aller dans tous Mars pour faire des concours que j'avais bien sur gagné. C'était bientôt leurs du passage ou nous défilerons toute en même tant. J'observer les autres candidates, il y en avait on sa demander pourquoi elles étaient la : elle était hideuse. Il y en avait une candidate assis sur sa chaise qui se mettait du rouge a lèvre qui elle n'avait pas la peau verte comme tout les autres habitants de Mars elles c'était mise DE LA BOUE !!! Mais c'est dégueulasse : de la boue pour avoir la peau marron c'est vraiment pas hygiénique. Et dans sur sa tête il y avait une grosse touffes de tiges marron aussi mais normalement ont a une anténe pas une touffes de tiges marron bizarroïde comme sa. Vraiment bizarre oui, elle se lève de sa chaise surement pour aller au WC je me lève aussi et la bouscules au passage elle tombe je l'aide a se relever
-Merci
-Excuser moi de vous avoir bousculer je suis maladroite, mais dite moi d’où venais vous ?
-Euh ben on me pose la question depuis tout a l'heure je viens d'Avignon mais le concours je ne savais pas qu'il fallait venir déguiser en extraterrestre pour se concours de beauté sa doit être une épreuve pour montrer que même comme sa on peut être belle par ce que normalement les extraterrestre sont moche, bon veuille m’excuser je doit allés au WC et vos lentilles sont très jolie.
Elle s'éloigne vers les WC, elle a dit des quoi ? <<Lantie>> c'est quoi ce truc et elle vient d’où <<Avigon>> et elle a dit que notre espèce était moche et quand je l'ai touché je n'ai pas eu de boue et sa peau était lisse, c'est vraiment pas normale peut être quelle vient d'une autre planète ? Non impossible elle est trop différent mais la planète bleu alors ? C'est la seul planète que l'on est pas explorer peut être que cette drôle de créature a été aspire par un vortex temporelle une fois c'est arrivée quand j'étais enfants il a était isoler dans le désert d'Arcandia le chef n'avait pas voulue le tuer par ce qu'il ne nous avait pas fait de mal mais il était différent et on aimer pas la différence. La candidate bizarre venait de sortir des toilette, si on la regarder attentivement elle était plutôt jolie et elle avait l'air gentille. J'avais pris ma décision je la cacherai cher moi et la renvérait cher elle quand les 6 soleil s'aligneront.

Un démon
tombe amoureux
d'un humains

[Nobody-book]

Aujourd'hui est un grand jour ! Moi, Kalk, démon depuis l'an 456 vais pouvoir quitter les Enfer pour le monde des hommes. Bien-sûr, je ne suis pas là pour visiter. Plutôt pour voler. Des âmes.
Ma première victime se nomme Lisa Beurk et à 26 ans. Elle va mourir d'un accident de voiture dans un quart d'heure et je devrais me dépêcher pour lui prendre son âme et la changer en démon. C'est ma première fois; avant je gérais les tortures.
Peu avant l'heure de sa mort, ma victime fais son apparition sur le trottoir goudronneux de son petit village natal. Elle me fais l'effet d'une déesse démoniaque.
Elle est magnifique.
Ses cheveux, gras comme du beurre, ondulent autour de son visage grassouillet, couvert de pustules. Son odeur de chacal m'attire comme un vautour par la charogne. Ses vêtement semblent avoir été directement sortis d'une poubelle et son sourire, si rayonnant, tellement ses dents sont jaunes me font m'évanouir de bonheur.
Elle ne doit pas mourir. Elle est trop belle pour cela.
- Mademoiselle !
Elle se retourne et ne traverse pas au passage piéton où, pendant que je discute avec elle, la voiture qui était censée l'écraser passe son chemin.

Le pere noel
qui fait grève
ses lutins tentent de trouver une solution

[Nobody-book]

Mince j'avais pas vu que tu avais déjà envoyé un texte Sheireen98.
Tant pis, les prochain prendrons ton topic.

[teter49770]

Une pauvre chute. Une chute qui m'enleva tout goût à la vie.
Une jambe de cassée. Pourquoi maintenant ?! Pourquoi là ?! Pourquoi moi ?!
Le médecin à été clair. Jamais je ne pourrais plus patiner. "Trop dangereux" m'a t'il fait de sa voix grave.
Je t'en foutrais, moi, des "Trop dangereux" ! Le patinage, c'est toute ma vie.
Non. C'est ma seule raison de vivre.
Pas de mari, pas d'enfants, et presque pas d'amis. J'ai tout sacrifier. J'ai tout donner au patinage. Dès ma plus tendre enfance, cela à été ma seule joie.
A cause de toi maman. Tu rêvais de me voir m'élancer sur ces pistes de glaces, heureuse de me voir accomplir ce que tu n'as jamais pût réaliser.
Et j'étais heureuse aussi.
Heureuse de te voir, a travers ton cancer, te réjouir de mes exploits. Tu me disais que j'avais un don pour ça, et j'espérais de tout coeur que tu avais raison.
Après ta mort, ce qui m'a fait tenir, c'était ça : La compétition, le patinage.
J'avais tellement fonder de rêves là dessus, j'avais tellement espérer !
Et tout ces espoirs ont été réduits à néant à cause d'une foutue jambe cassée.
Qu'est ce que je vais devenir maintenant ? Mon manager m'ignore à présent comme si je n'avais jamais exister, et mon coéquipier a déjà trouver une remplaçante.
Mais que vais-je devenir, maintenant que je ne peux plus pratiquer, maintenant que toute ma vie s'est effondrée comme un mur de poussière ?
Et surtout, comment vais-je finir ?

Une lettre
D'un enfant abandonné
Au père qui le maltraitait régulièrement avant de le larguer dans un orphelinat.

[Nobody-book]

Teter49770, il est super ton texte !


Papa, (ai-je le droit de t'appeler comme cela ou préfère-tu que je te considère comme un inconnu ?)

L'orphelinat où tu m'a envoyé n'est pas terrible, mais c'est mieux comme ça, comme a dit Maman (d'ailleurs, tu lui passera le bonjour de ma part). Je me suis fais un copain qui s'appelle Erik et dont ses parents sont morts d'un accident de voiture. Je ne lui ai pas dit que tu étais vivant et que tu me frappais avant de m'envoyer ici.
La directrice est plutôt gentille et personne n'est encore venue pour m'adopter, mais j'espère que le jour où cela arrivera, mes nouveaux parents seront mieux que vous, qui m'avez abandonné.
J'espère que tu vas mal et que tu regrettes ce que tu m'as fais; même si je sais qu'il ne faut pas trop espérer.
Voilà, je crois que c'est ainsi que je fais terminé ma lettre...Monsieur. Appréciez sa lecture et rendez-vous bien compte que jamais vous ne me reverrez,

Votre ancien fils.


Voilà, ce n'est pas très gai mais bon...
Prochain thème (celui que j'avais mis précédemment):
Le Pere Noël
Qui fait grève
Ses lutins tentent de trouver une solution

[teter49770]

Merci ^^

Un petit groupe s'était formé près de l'atelier privé du Père. Le Père ? Celui qui est connu sous le nom de Père Noël.
- Hey, les lutins, qu'est-ce que vous fichez là ? Vous devriez tous être en train de travailler non ?
Moi ? Je suis la Fée, et, si vous préférez, la secrétaire de celui que vous appelez tous le Père Noël.
Je me nomme Noëllie.
Très marrant n'est-ce pas ? S'appeler Noëllie alors que on travail tout les jours sur ce thème : Noël.
En gros, je suis celle qui régit cette entreprise. Parce qu'on peut pas dire que cet alcoolo de Père se remut beaucoup le bide pour offrir un joyeux noël à "tout les enfants du monde".
Le seul "boulot" qu'il ait à faire c'est de sortir un soir par an, distribuer des cadeaux. Et ce gros bougre ose se plaindre qu'il fait froid dehors. Il a même trouver le moyen d'oublier une bonne moitié de la Terre l'année dernière. Même ses rennes sont plus courageuses !
- Noëllie, ce n'est pas notre faute, mais le Père a déclarer qu'il faisait la grève !
- Encore ?!
Non mais c'est vrai quoi, c'est la troisième fois depuis deux mois !
- Oui Noëllie, et cette fois ci, il a dit qu'il finirais par une grève de la faim si...
- Si... ? je demande d'une voix menaçante.
- Noëllie, je voudrais juste avoir la sûrementation que vous n'allez pas défouler votre colère sur moi.
Je passe sur ce mot étrange qu'il vient de m'inventer - les lutins adorent inventer des mots étranges - et je réponds en soupirant :
- Je le promet. Mais dépêche toi !
- Hé bien... Si... On ne lui réduisait pas son temps de travail et si on augmentait pas son salaire...
- QUOI ?! j'hurle. Mais il est timbré ?!
Le petit groupe de lutin se met à reculer derrière ma colère. Celui à qui j'avais promis de ne pas lui faire de mal se réfugie derrière ses petits bras. Je trouve ça ridicule : Je n'ai pas l'habitude de frapper mes employés.
- Vous avez essayer de réglementer ? je demande en soupirant
- Oui... Ils soufflent. Il ne veut rien entendre.
J'entre alors dans une colère noire. Non mais comprenez moi ! Je passe mes journées a bosser comme une malade pour tout les enfants de la terre, et le seul qui prend tout les mérites, c'est un alcoolique de base, puant et flemmard.
J'écarte alors les lutins de mon passage et entre dans le bureau du Père Noël comme une folle, puis je referme la porte en la claquant.
- Alors comme ça, tu fais ENCORE grève ?! je hurle.
Il se tourne vers moi. Encore une fois, en le voyant, en train de se gaver de pizza, dont les miettes pourissent dans sa barbe blanche, sale et emmêlée, je suis prise de hauts le coeur. Il dégage une odeur infecte.
Puis il me sourit en me reconnaissant. Un sourire édenté et plein de saleté coincées entre les dents noires.
- Et oui, je considère que mon travail est mal payé par rapport à ce que je subit chaque année.
J'en reste bouche bée. Le Père ? Mal payé ? Et puis quoi encore ?
Une rage folle se prend de moi. Je ne contrôle plus mes gestes. J'avance vers lui, tant bien que mal, titubant entre les parts de pizzas et les bouteilles de bière et fini par arriver près de lui.
Il ne comprends pas tout de suite, et, étant un gros pervers, me regarde avidement et me détaille sans gêne. Je suis reprise de nausées. Et puis quoi encore ?!
Là, je lève ma main et inspire un grand coup.
La claque magistrale que je viens de lui administrer résonne dans le bureau.
Puis je pars de cette porcherie sans me retourner.
Je claque la porte derrière moi et me met à respirer, inspirer cet air délicieux, qui est un vrai paradis par rapport à ce "bureau".
Les lutins me regardent d'un air anxieux, quand il me vient une idée merveilleuse. Je me met à sourire, contente de moi.
Voyant que mon expression changeaient, ils me questionnèrent du regard. Alors, j'annonçais; très fort pour que tout le monde m'entende :
- Cette année, c'est MOI qui distribuerait les cadeaux dans le monde !
S'ensuivit un grand silence, puis les lutins se mirent à applaudir, tout content.
Satisfaite de mon boulot, je m'élance vers mon bureau en volant.
N'est pas Fée qui veut.

Voilà, je me suis bien amusée ma fois J'avais quelques comptes à rendre au "Père Noël"
La mort
Qui vient fauché
Celui dont elle est amoureuse.