Jeu d'écriture

[ge-choux]

Elle arriva vêtue de son élégante robe noire, étincelante parmi les mortels, elle avança jusqu'à celui qu'elle n'aurait jamais dû rencontré. Elle ne l'aurait pas connu, il n'aurait pas dû mourir. L'amour de la Mort tue. Et elle regrettera toute son existence d'immortelle de lui avoir ôté la vie.
-Mon amour, lui disait-elle la voix tremblotante. Je dois t'emporter avec moi.
-Tu me fais une blague, c'est ça, lui répondit-il hésitant.
Elle secoua la tête et versa une ribambelle de larmes froide sur ses joues sans couleur.
-Mais je t’ai tant aimé, tout mon être brûlait pour toi ! pleurait-il une fois qu'il eut réalisé la situation.
-Je n'ai pas le choix. Pardonne-moi, l'implora-t-elle.
-Je vais mourir parce que je t'aimais pas vrai?
Elle affirma d'un simple signe de tête, n'arrivant même plus à le regarder dans les yeux.
-Et tu avais juré me sauver ! Te rencontrer n'a été pas été la plus belle mais la pire chose qu’il ne me soit jamais arrivé ! J’aimais ta toute puissance et j'avais confiance en toi ! Tu m'as aveuglé de ton aura pour mieux me tuer ! Tu n'es qu'une sorcière, la fille du diable et le plus grand tyran que je n'ai jamais connu!
-Pardonne-moi, répéta-t-elle.
-Et je t'aimais tellement, soupira-t-il. Vais-je souffrir ?
-Énormément, répondit-elle simplement.
-M'as-tu réellement aimé ?
-Plus que je ne l'aurais dû.
A son tour, il se mit à pleurer des larmes de terreur et des larmes de peur.
Il mit du temps à se remettre de l'annonce de la Mort et bien qu'il lui en veuille terriblement, elle resterait pour lui la seule femme qu'il n'ait jamais aimé. Et s'il devait mourir aujourd'hui, il préférait cent fois que ce soit de la main de celle qui l'aime.
Aussi, il s’approcha d'elle et la serra dans ses bras. Puis dans un silence merveilleux, il l'embrassa sur front comme il l’avait toujours fait avant de poser son menton sur sa tête. Le monde aurait pu disparaître à cet instant, il s'en moquait éperdument. Le temps est un assassin qui laisse peu de temps à l’amour, mais lui l'avait trouvé avec elle. Après avoir vécu toutes ces souffrances ensemble, le calvaire n'était pas loin de s'achever. Il ne retenait aucune rancune pour cet être immortel qu'il enlaçait. Au fond de lui, il le savait, cela faisait parti des risques.
-Quand j'allais mourir, pourquoi m'as-tu sauvé ?lui demanda-t-il alors.
-Je ne sais pas.Je me rappelle de ton corps, il était si froid. Ils t’ont abandonné sans vie dans la forêt pour que les vers puissent se nourrir de ton corps. Et j'ai eu de la pitié de toi. Tu étais si beau. Je me suis dis que si je te sauvais, tu aurais pu être à moi. J'ai été égoïste, je n'aurais jamais dû le faire. Maintenant, on me demande de réparer mon erreur alors que je suis amoureuse de toi. Je suis tellement désolée !
-Je t'aime, mais si ça peut atténuer ton chagrin, alors je te dirais que je te hais, plus que je n'ai jamais haïs personne.
Finalement, il s'approcha d'elle et l'embrassa une dernière fois avant qu'elle ne lui aspire son âme d'un coup de faux, le visage couvert de larmes.

Un trapéziste
Dans un cirque
Qui va faire le numéro le plus dangereux du monde

[Poisson_rouge]

J'était debout. J'essayait de contrôler le tremblement de mes jambes en vain. Mes mains étaient moites et secouées de tremblement. Une sueur froide me coula sur la tempe. Je l'essuya. Je jetais un dernier regard en bas. Ils étaient tous là, leurs visages tournés vers moi, des riches, des journalistes, des intéressés, mon patron et mes collègues. Mais aussi des gens qui voulait voir du sang couler par pur plaisir, je ne leur donnerait pas ce plaisir. Je serais les dents et regarda mon objectif : Une petite plateforme à une centaine de mètre. Une distance immense à parcourir avec un seul barreaux de transit. Je m'apprêtais à faire le plus grand et le plus dangereux défis qu'un trapéziste peut faire. Les lumières des caméras m'aveuglaient. J'allongeait mes bras et me mit en positions. Une mèche de cheveux noire tomba dans mon visage. Je ferma mes yeux, respirant comme pour la dernière fois. Le monde entier retenait son souffle. Si ce devait être mon chant du cygne, ce serait le plus beau jamais vu. Je m'élança, comme un oiseau, comme un cygne.

Bon, je suis désolée, je ne suis pas une spécialiste du trapèze... :S

Une fille qui a vécut dans les bois toute sa vie
Dans un terrain vague en banlieu de la ville
Qui rencontre un garçon de la ville

[Adria]

Savez-vous à quel point le gens sont fous ?
Surement pas autant que moi. J'ai vécus prés de dix-neuf ans dans une cabane sordide dans le bois pour ma soi-disant protection. Il m'a menti pendant tellement d'années, il disait qu'il n'y avait rien en dehors de ces bois. L'homme qui prêtant ne vouloir que ma sécurité est mon propre père et d'après lui le monde dans lequel nous vivons est bien trop dangereux pour qu'il risque de me perdre.
Il y a quelques jours, lorsque j'ai découvert la supercherie, il m'attacha pendant trois jours à mon lit m'expliquant à quel point il tenait à moi, foutaise !
Il m'expliqua alors qu'un mois après ma naissance ma mère avait été assassiné en rentrant d'un diner entre amies, le premier depuis ma venue au monde, un homme lui vola tout ce qui avait de la valeur, prenant sa fierté au passage et lui fit subir pleins d'autres horreurs avant de la poignarder, la laissant pour morte. Elle mourut de ces blessures aussitôt arrivé aux urgences. Cela ne justifiait pas son comportement avec moi, bien au contraire, il était a mettre dans le même panier que le meurtrier de ma mère car tout comme lui, il m'avait retiré en quelques sortes à la vie.

Alors je me suis enfuis, j'ai courus en dehors du bois me retrouvant dans un univers étranger. J'ai continué à courir sans savoir où j'allais lors que l'épuisement et le surplus d'émotions eurent raison de moi, je titubais vers ce terrain remplis de saleté et m'évanouis.
Un coup violent au visage me retira de mon sommeil, une gifle.
J'ouvris les yeux, son visage était face au mien, j'eus du mal au début à bien le regarder mais ses yeux bleus si profond m'hypnotisait littéralement, quelques mèches brunes tombaient sur son front et effleuraient le mien. Il laissa échapper un soupir ce qui me retira de ma contemplation.
-Tu sais que tu ne devrais pas faire de sieste en plein milieu d'un terrain vague ?
Je ne répondis rien, une part de moi en avait envie mais l'autre part, celle terrifiée le refusait. Il m'aida à me relever et me tendit un mouchoir.
-Tu saignes.
Je pris le bout de papier qui me tendait sans saloir où j'étais blessée.
Il soupira de nouveau.
-T'es peut-être blonde mais ce n'est pas une raison pour être aussi peu dégourdit, s'impatienta-t-il. Tu sais je vais commencer à croire vraiment que les plus jolies filles sont aussi les plus idiotes.
Il nettoya ma plait, qui compris-je était sur mon front.
-Où suis-je, finis-je par dire.
-Ah ! Tu as une langue. Tu es en banlieue.
-En banlieue ?
-Tu as du vraiment passé une soirée de dingue hier soir pour te retrouver sans un tel état.
-Vous n'avez pas idée.
-Vous ? Mais d'où est-ce que tu viens ? Puis c'est quoi c'est fringue, des guenilles ?
-Je ne suis pas d'ici, avouais-je un peu honteuse sans savoir vraiment pourquoi.
-D'où viens-tu alors ?
Je fondis en larmes, car une évidence vint à moi, je venais de strictement nul-part.
Il me prit dans ses bras, ce qui calma mes sanglots.
-C'est criminel de faire pleurer des yeux tels que les tiens, je n'en ai jamais vu aussi vert que les tiens.
Il attendait une réaction de ma part mais je me contentais de continuer à pleurer.
-Écoute, je suis vraiment désolé si j'ai dis ou fais quelque chose de mal.
Je sentis de la sincérité dans ses propos et cela me toucha, je n'avais jamais ressenti ça même pas venant de mon père.
-Ce n'est pas votre faute, avouais-je.
Il prit ma tête dans ses mains, et lu tout le désespoir qu'il y avait en moi, j'ai su alors que je pouvais avoir confiance en lui, son regard ne pouvait pas mentir, il trahissait même la dureté de ses traits. Alors je lui raconta tout, pour ma mère, sur mon père, toutes ses années cloitré dans la cabane, je lui confia chaque détail même les plus sordides.
Il m'embrassa sur le front et prit ma main.
-Comment t'appelles tu ?
-Ella.
-Moi c'est Ethan. Tu vas venir chez moi pour te laver, te détendre et manger. Nous allons te trouver quelques vêtements aussi et ensuite nous préviendrons les autorités, d'accord ?
-Mais que deviendra mon père ?
-C'est le dernier de tes soucis, crois-moi.
Je le croyais et lui vouais une confiance à toute épreuve, j'aurais pus faire tout ce qu'il me demandait. Je suis peut-être naïve mais il est la seule personne que j'ai.

Désolée pour les fautes d'orthographe, de conjugaison etc...

Une fille de bonne famille
Coincée dans un mariage sans amour et amoureuse du frère de son époux
18eme siècle

[fruitbasket83]

Les rayon du soleil venait de ma réveiller sans ouvrir les yeux je me lève et une fois levais je les ouvre et me retrouve en équilibre sur une branche en dessous de moi le vide. Je me rassis vite pour ne pas tomber et me rappelle pourquoi je suis ici et pas dans ma cabane et me rappelle que je regarder les étoiles hier soir et me suis endormir de fatigue. Je glisse le long de l'arbre et atterri bien en équilibre. Je me dirige vers la rivière pour me débarbouiller et cueille des baie dans un buisson pour le petit déjeuner. Je réfléchie tout en marchant et en mangeant mes baie : il faut que je soigne le renard, et enlève les pièges que j'ai repérer hier et aussi que j’attrape des poissons pour manger, Pfou tant de choses. Je relève la tête et remarque que je suis sortie de la forêt et me retrouve dans un terrain vague mes il n'y a pas que des plantes au loin une personne assise sur un rocher, je recule vite pour retourner dans la forêt CRAC je me baisse vite je viens de marcher sur une branche. Je le vois se retourner mes les hautes herbe me cache, j'aspersois son visage au loin il n'est pas habillé comme les chasseur qui viennent dans la forêt armée de fusil pour tuer les animaux mais, je suis sur qu'il est tout aussi dangereux. Je me relève pour vite repartir avant qu'il me voit mes trop tard je me suis relever au mauvais moment il a le visage stupéfait et ne dit rien, il faut que je parte je commence a courir vers la forêt mes quand je jette un cous d’œil derrière il court aussi derrière : j’accélère mais il me me rattrape et attrape mon bras nous tombons tout les deux
-Excuse moi mes pourquoi t'es tu enfuis ?
-Tu est dangereux.
-Moi dangereux ?
-Oui tu tue les animaux pour ensuite les accrocher dans votre grande cabane toute dur !
-Tu veux parler des maisons ?
-Appelle ce truc comme tu veux en tous cas laisse moi partir tu est un tueur comme les autres !
-Non tu te trompe je ne tue pas les animaux, et je peut savoir pourquoi tu pense sa ? Et d’où vient tu ? Tu a une drôle de façon de t'habiller je te signale.
-Je vis dans la forêt et je m'habille normalement et c'est vraie ? Tu ne tue vraiment pas les animaux ?
-Oui c'est vrai. Mais tu vit vraiment dans la forêt c'est incroyable ! Tu n'a pas de famille ?
-Aussi loin que je me souvienne j'ai toujours vécue dans la forêt je croyais que j'étais seul mais j'ai ,découvert que il y avais d'autres personnes comme moi mais pas forcément aussi sympathique. Il venais tuer les animaux je les ais suivis un jour et j'ai vu qu'il habitait dans des cabane toute dur.
-Des maisons sa s'appelle. Tu est incroyable avoir survécus tout une vie comme sa c'est vraiment époustouflant
-Pourquoi ce n'est pas normal ? Et toi tu vit ou alors ?
-Je vis en ville.
-En ville c'est quoi sa ?
-C'est plein de maison de gens d'immeuble de voiture de magasin c'est pleins d'agitation.
-C'est quoi un immeuble, une voiture et un magasin?
-Un immeuble c'est une maison mais beaucoup plus haut et les voitures c'est des siège qui sont sur des roue et sa avance sur des routes et des magasin c'est la où on n’achète des objets ou des vêtement comme les miens.
-Woua il y a tous sa ? Et sa avance vite les voitures ?
-Oui.
-Je ne savais pas que des choses comme sa pouvais exister je voudrais tant y aller un jour. Dis-je dans un soupir
-Un jour oui peut être je t’emmènerais je te le promet.
-C'est vraie ?
-Oui.
La en le regardant j'ai sus qu'une longue et formidable amitier venait de se crée avec se garçon et que je découvrirais un monde plein de surprise !

[Nobody-book]

Tu as oublié le prochain topic

[steenny]

Elisa se sentait mal. Des frissons la secouaient de partout. Son coeur battait la chamade, et elle priait que personne ne le remarquait.
-Elisa, très chère, lui dit son mari, James, assis à côté d'elle, qu'est-ce qui vous arrive ?
Elle le regarda lui sourire d'un air faussement contraint, comme si il pouvait s'en soucier.
Son mari était le Comte Des Roches, et ami proche du Roi. Il était systématiquement convié au bal que donnait ce dernier, et c'était le seul qui pouvait vraiment dire connaitre le Roi.
Ils s'étaient rencontrés lors d'une réception au palais. Ils avaient échangés quelques mots, dansés sur quelques menuets, mais James n'avait pas montre le moindre signe d'amour pour elle, et Elisa le soupçonnait d'avoir toujours eu un petit coup de coeur pour sa magnifique et exceptionnelle soeur, Fanny. Elisa avait hérité de l'imagination débordante de son père, mais hélas, bien qu'elle fut ce qu'on pourrait qualifier de 'jolie', n'avait en aucun cas la beauté de sa soeur. Extraordinaire, sublime, magnifique, personne ne pouvait ne pas la regarder. Et le pire, c'est qu'elle était d'une grande gentillesse et d'une grande douceur. Tout le monde l'aimait. Sauf les filles, peut-être. Alors qu'elle a été sa surprise quand quelques mois plus tard, sa mère est venue lui dire qu'elle allait l'épouser.
Elisa ne prit pas la peine de lui répondre, car il s'était déja tourné pour engager d'un ton pressant sa grande soeur, affable.
-Est-ce que ça va ?
Cette question là était sincère, et Elisa ne put retenir un nouveau frisson.
A sa gauche se tenait l'homme le plus beau, le plus fort et le plus courageux qu'elle connaissait. Elisa était folle de lui, et souffrait que ce ne soit pas réciproque, même si elle sentait qu'un lien profond les unissait. Elisa, dès le premier regard, dès sa première discussion avec lui avait su qu'ils étaient pour être ensemble, enfin tout du moins c'est ce qu'elle avait cru jusque quand il rencontra sa soeur. Son regard, quand il l'a vu..
Elisa ne put jamais l'oublier. Et elle savait que même si elle était marié à un autre homme, qu'elle haissait, qu'elle trouvait arrogant et égoiste, elle l'aimerait toute sa vie, de tout son coeur, de toute son ame, et que ça la détruirait. Car c'était son beau frère, le mari de sa soeur, et ils s'aimaient d'un amour plus fort que tout. Incontrolable, qu'on ne pouvait nier. Qu'on ne pouvait éspérer. Et de le savoir, ça la détruisait.

les 3 mots sont :
Un espion, en mission secret dans le futur

[Nobody-book]

- Et le prochain participant sera: Henry Peeterson !
C'est moi. C'est mon tour. J'ai peur. Mes quinze ans de pratique du piano suffiront-elles pour les jurés ? Je n'ai que dix-sept ans. On dit que je suis un prodige mais je n'en suis pas convaincu. Je vais me planter, joué une fausse note, j'en suis convaincu.
Minuit, sonne le Big Ben. Comme j'aimerai être ailleurs, ne pas être née de mélomanes et musiciens reconnus !
- Mr Henry Peeterson ! répète le présentateur.
Je me craque les doigts pour décompresser et m'avance sur la scène. Là, je suis éblouis par les lumières des projecteur et les regards impassibles du jury.
Je vais me...
Voyons Henry, sois positif ! Donne le meilleur de toi !
Je vais me...
Le meilleur de toi, Henry !
Je saluts le public, les plus grands de la musique classique qui me jugeront et je mets à jouer. Mes doigts volent sur les touches et je laisse libre cours à mon imagination d'artiste. J'oublie le morceaux que mes parents m'ont fait répéter jours et nuits et alterne harmonieusement Vivaldi, Mozart, Beethoven, Chopin et d'autres idoles de mes mentors - parents.
Au bout d'une dizaine de minutes de plaisir intenses, je me dis, sous les applaudissements hystériques du public et les sourires des jurés, que je n'ai pas été si nul que ça et que je doit avoir malgré tout un grain de talent caché quelque part.

Voilà !
Prochain thème:
un homme de cromagnon
et un homme du futur
à Paris de nos jours

[teter49770]

- Qu'est ce que c'est laid ! s'écria le jeune homme aux cheveux bleus clairs, marchant dans les rues de Paris.
- Agnahabah ?
- Mais oui mon cher Abaka ! Regardez moi ça : Tout est laid, sans couleurs, morne, triste... Beurk !
- Blablanangnatvhouno...
- Mais non ! Vous n'y êtes pas du tout ! Ces voitures ne sont pas de la viande, enfin !
- Kagnamanaba ?
- Mais enfin, mon cher Abaka, ces engins sont des vieilleries ! Plus personne ne les utilisent, de nos jours !
- Ragmanana...
Ils étaient deux : un grand, athlétique, aux cheveux d'un bleu clair presque fluorescent, aux yeux violets pâles, et à la combinaison noire, ainsi qu'un homme à la barbe mal coiffée et aux cheveux gras, qui semblait marché plié, mal à l'aise dans des habits trop petits pour lui.
- Akaba kalipostrenod !
- Non, non, et non, Mon cher Abaka. Surveillez vos pulsions, soyez un gentleman ! On ne saute pas comme vous le dites sur une jeune femme dans la rue... ! Et puis, elle est bien laide ! Elle n'a pas la moindre rondeur, elle n'a même pas les yeux jaunes !
Les passants se retournaient sur leur passage, intrigués par ces hommes si étranges.
Soudain, l'homme de cromagnon s'arrêta, le nez en l'air et le doigt pointé haut vers le ciel.
Il semblait effrayé et criait :
- Boumbadaboum ! Abaka pesto morokabanitu Boum !
Cette fois ci, un petit groupe se formait autour de l'homme, si étrange.
- Mais non mon cher Abaka ! s'exclama le jeune homme aux cheveux bleus. Cet avion n'est pas le signe des dieux pour nous dire que nous allons tous mourir ! Ce sont encore ces stupides vieilleries, inventées par mes ancêtre - et vos descendants mon cher Abaka - qui les servent à se sentir de taille à voler ! Pff... Ne vous inquiétez donc pas, ce ne sera qu'en 3650 que les humains réussiront enfin a voler tout seuls, sans une machine stupide et polluante pour les transportés !

Je viens de me marrer un truc de ouf Merci pour ce thème
Teter revient avec un thème qui est tout de suite plus triste ^^'

Une petite fille
Dans un champs de bataille (avec des morts partout)
Qui cherche son grand frère.

[fruitbasket83]

-Que-vais je faire ? Je suis vraiment le plus indigne de tout les Lapin de Pâque ! Plus d’œuf, je n'ai plus d’œuf. Comment cela a t-il put arriver ? C'est demain Pâque et plein d'enfants irons dans leurs jardin avec l’espoir de trouver des œufs. Et moi je n'en est plus. J'ai complétement oublié d'aller en chercher dans le champs de Pâque que je cueille chaque moi juste avant Pâque. Mais si je prend un mois d'habitude a moi tous seule comment je vais faire en une journée ? Je ne vais pas aller demander de l'aide sinon tout le monde va me traiter de lapin de Pâque indigne. Mais il faut que je demande l'aide de mes amies, sinon les enfants seront triste et tant pis si je me fais gronder !
Je sors de mon terrier et me dirige vers la maison du marchand de sable. Toc Toc. J’attends un peu. Toc Toc. Rien.
-Mais tu vas te réveiller oui ! Bon sang de Bonsoirs !
-Sa va, Sa va je me lève laisse moi deux minutes Lapin Grognon.
-Je te laisse deux secondes, c'est urgent j'ai besoin de ton aide !
Marchand de sable ouvre précipitamment la porte avec un visage stupéfait. IL flaute au dessus du sol et a toujours les même habits que hier : bonnet de nuit et robe de nuit doré avec sa sacoche de sable.
-J'ai bien entendu mon aide ? Tu m’intéresse.
-J'ai oublié d'aller chercher les œufs de Pâque au champs et j'ai besoin de toi de mère nature du père noël et de ses lutins pour tous les cueillir en une journée et comme tu est le plus proche et que tu vole tu veut bien aller les chercher et leur demander de venir m'aider a cueillir ?
-Et ben tu t'es mi dans un sacrée pétrins je suis fatigué mais je vais aller les chercher aller laisse moi passer je reviens dans cinq minutes avec tout le mondes !
Je m'écarte de la porte et il s'envole au loi_n comme une fusée mais je lui crie avant qu'il ne puisse plus m'entendre :
-Tu est fatigué ?! Ta dormi deux jours au moins !
-Oui c'est sa Lapin Grognon ! me cri t-il a son tour.
Mes amies son tous venus et il ne m'en on pas voulu il m'ont juste dits qu'ils étaient heureux que j'ai fait appelle a leur aide et on a ramasser tous les œufs dans la joie et la bonne humeur. Maintenant je doit sonner les cloches ! Ding Dong ! Ding Dong !


une fille se fait enlevé
par un agent secret en mission
elle tombe amoureuse

[Nobody-book]

- Ding !
Un client est entré dans le bar que je tiens depuis déjà quelques mois et qui commence à se faire une réputation. Je finis d’essuyer mon verre et pars à sa rencontre. Je le salut chaleureusement et lui tends la carte.
Mais il ne semble pas connaître le sens des mots "politesse" et "savoir-vivre" et me je un gros d'un je-ne-sais-quoi sur la tête.
Lorsque je retrouve mes esprits, je me trouves dans une voiture ligoté.
- Mmmmmmh !
Mon ex-client et kidnappeur sourit et me retire le foulard qui me fermait la bouche.
Grossière erreur.
- Auuuuuu secouuuuuuuuuur ! A l'aiiiiiiiiiiiide ! j'hurle en ouvrant la fenêtre blindé que la voiture.
Il soupire et me saisis les épaules pour retirer ma tête de l'extérieur. Nous ne sommes plus à Paris. En campagne, je crois. Et il fait nuit.
C'est vraiment ma chance.
- Bon, me dit l'homme en me re-ligotant la bouche. Je ne suis pas un ennemi, d'accord ?
Malgré moi, je hoche la tête.
- Bien, tu vas te tenir tranquille jusqu'à ce que l'on arrive au QG, d'accord ?
Le QG ? Je hausse un sourcil et lui jette un regard interrogateur.
- Je suis un espion, il lâche alors. Tu comprendras tout plus tard. Dors maintenant, continue t-il en me regardant droit dans les yeux que je lui trouve plutôt beau...
Puis je m’endors.
Je me réveille je ne sais combien de temps plus tard et constate que la voiture à laisser place à un maisonnette plutôt rustique.
- Bien dormi ?
Oh lui !!! Le...
- Ne t’énerve pas, chéri. Je te rappelle que je suis un ami.
Tu parles Charles ! Même pas en rêve !
- Si tu es un ami, je dis, profitant d'avoir la bouche libre, détache-moi, explique-moi pourquoi tu m'as enlevé. Et arrête de m’appeler chéri.
- D'accord, chéri. Je t'explique. Ma ne peux te détacher, faute à ta dangerosité.
- Dangerosité ?
- Tu es un démon, chéri. Pas bien méchant, mais un démon.
Ses paroles me mettent hors de moi.
- N'importe quoi ! Détache-moi !
- Change d'oreilles, il soupire. Je ne te détacherais pas.
Bon, m’énerver ne serais donc pas la solution. D'après mon expérience littéraire et téléviser, les gentils, lorsqu'ils sont en situation délicate, profitent pour interroger le méchant et trouver un échappatoire.
- Et qu'est-ce qui te fais dire que je suis un démon ?
- Laisse tomber ton interrogatoire, chéri. C'est classique.
Je ne me laisse pas démontée.
- Qui est-tu ?
Il soupire.
- Un espion spécialisé dans la chasse au démon, ma chéri. Et je sais que tu en es un car une aura démoniaque s'échappe de toi.
- JE NE SUIS PAS UN DEMON !
Il sourit.
- Calme-toi, chéri. Tu vas mettre le feu à la maison. Ce n'es pas la mienne en plus.
Comment prendre cette phrase ? Au sens propre ou au figuré ?
Je ne sais pas.
J'abandonne.
Ce n'est pas mon genre, je me suis toujours battu. Mais jamais contre un espion chasseur de démon. Il est trop fort pour moi.
Je l'observe, pour passer le temps qui me sépare de la mort. Il a un visage dur que je trouve plutôt séduisant et des cheveux bien coiffés. Ah, c'est un homme qui prend soin de lui. Célibataire en plus, je devine en regardant ses doigts.
Je me surprends à sourire.
- Qu'est-ce qu'il y a, chéri ? Je te plais ?
- Pas du tout. Tu me dégoûtes, je réplique rouge cramoisi.
Il ricane.
- C'est marrant. Moi aussi je t’apprécie. Tu me fais rire.
- Arrêtes ton stupide jeux. Tu commence à me saouler à la fin. Et je trouve le temps long.
- Avoue que tu aimes passer du temps avec moi. Moi, j'aime bien être avec toi.
- T'es ridicule.
- J'en suis fort désolé, chéri.
Tiens, ça faisait longtemps.


Et voilà, j'ai enfin finis ! Et je me suis éclater !
Prochain thème:
Un scientifique
Qui créer une femme
Il en tombe amoureux
OUi, je me suis inspiré de Frankenstein !

PS: De rien teter49770 !

[teter49770]

Cheveux noirs, yeux verts, peau pâle, pas de grains de beauté, taille fine, bouche bien tracée.
Voici ma création.
La première femme faite par un homme.
N'est-ce pas merveilleux ? Ne suis-je pas merveilleux ?
Et n'est elle pas magnifique ?
Si belle... Si, parfaite !
Mon oeuvre, ma création.
Comment vais-je l'appeler ?
Perle.
Oui, c'est une bonne idée, comme prénom, Perle.
Elle va bientôt se réveiller. Elle sera comme un enfant dans le corps d'une femme adulte.
Mais je vais tout lui apprendre. Car c'est mon oeuvre. Elle m'appartient. C'est moi qui l'ai créer.
Elle n'est pas "faite de ma chair", mais peu importe.
Il est maintenant temps que je pense à la réveillée.
J'approche de la table d'opération, je la contemple.
Elle est nue, mais ce n'est qu'un objet après tout. Cela ne me dérange pas plus que cela.
J'approche d'elle, je lui caresse un peu la joue. On dirait qu'elle est morte. Ou endormie.
Mais elle n'est tout simplement pas en vie. Pas encore.
Je sors les électrochocs de leur étui. 1000 volts. Assez pour arrêter le coeur.
Et suffisants pour le faire démarrer.
Un choc. Le coeur se déclanche. Commence à battre, à distribuer du sang dans ce corps parfait.
Je le baisse à 100.
Nouveau choc.
Cette fois-ci, c'est pour réveiller le cerveau que je fais cela.
Et ça marche. Sa peau prend peu à peu des couleurs, je sent son coeur battre.
J'ai les larmes aux yeux. Ca a marché ! Enfin ! C'est merveilleux !
Je ne m'empêche pas de mettre mes mains sur le haut de sa poitrine pour sentir son coeur battre enfin.
Je sent son pouls régulier, les litres de sang qu'il envoie, qu'il reçoit, qu'il transforme.
Soudain, je reçois une gifle.
- Mais... qu'est-ce que... ?!
Des doigts fins se dégagent de moi. Des ongles parfaits me lacèrent le bras.
Je recule, sous le choc. C'est ma création ! Mon oeuvre ! Et elle suffisamment intelligente pour se sentir mal en ma présence !
C'est magnifique, merveilleux....
Elle s'est redressée. Elle ne sait pas parler, mais elle me foudroie du regard.
Un si beau regard... Des yeux verts, un vert pétillant... Si beau... Si profond.
Je ne peux pas m'empêcher de l'examiner de plus près.
Une forte poitrine, bien droite, et...
Mais enfin ?! Qu'est-ce qui m'arrive ? Cette "première femme créer" n'est qu'un objet ! Ses formes ne sont pas réelles ! Je...
- Bonjour Perle. Bienvenue dans mon monde. Je suis Henry, ton créateur.
Je suis tombé amoureux de ma création.
Et ne vous inquiétez pas, je lui ai vite donner des habits !

Une petite fille toute joyeuse, un jeune garçon pessimiste et un adulte neutre.
A la fête foraine.
Cherchent ce qu'ils vont bien pouvoir faire comme activités.

[fruitbasket83]

Ils venaient d'arriver à la fête foraine qui venait d'arriver en ville. Chaque année tout les enfants se tonner rendez-vous pour s'amuser. Dans se brouhaha une petite fille sauter de joie autour de son frère et son père.
-Alors ? Alors ? On fait quoi ? On fait quoi ? demanda Lili toute joyeuse.
-Ce que tu veut, choisis. dit son père
-D'accord alors je veut faire la chenille !
-Au pitié tu veut faire sa ? Fait un truc plus calme. lui dit Marc son frère
-Un truc plus calme ? Mais c'est nul les trucs calme aller venait !
Elle les pris par la main et les emmena a la queue pour la chenille qui était très longue. Ils s’engagèrent dans la filent.
-T'es sérieuse ? Tu veut faire une heure de queue pour faire un tours de manège pourris ?
-Aller sourit sa va être marrent, sa passe vite et si tu est là ces que tu voulait venir, non ?
-C'est toi qui mit a obligé je te rappelle.
-Ah oui, c'est vrai !
-Arrêter un peut et tu choisira après Marc si tu veut.
-Oui si il y a un manège potable dans cette fête foraine.
La queue avancer lentement mais au bout de 20minutes ils firent enfin leur tours de manège. Lili avait voulu être tout devant et elle cria comme une folle pendants le manège, Marc et son père ne dire rien.
-Bon maintenant qu'on a terminer tu veut faire quoi Marc ?
-Tire a la carabine.
-Oui tu va me gagner un cadeau !
-Oui pour moi !
Ils se dirigèrent vers le stand de carabine ou il n'y avait pas de queue se qui était un point positive pour Marc. Il avait 5 flèche et devait crever 3 ballons pour pouvoir gagner l'appareil photo.
-Wouai merci pour la peluche !
-Il m'en manquer un et j'ai eu une peluche géante de tigre pourri !
-Tu y arrivera la prochaine fois. lui dit son père avec une tape dans le dos
-Tu a fait une bonne action en me rendant moi ta petite sœur chérie heureuse.
-Ah ah ah je suis mort de rire et maintenant je veut faire la maison hantée !
-Non j'aime pas ces nul !
-Fait un effort pour ton frère.
-Oui tu feras une bonne action en rendant ton grand frère chérie heureux !
-Beuh ! lui fit elle en lui tira la langue
-Idiote !
-Oui moi aussi je t'aime mon frère chérie ! en lui prennent la main
-C'est sa !
-Aller on y et après on fait les auto tamponneuse vous ferez une bonne action en rendant votre père chérie heureux !
-Beuh ! firent Lili et Marc en lui tirent la langue
Il rirent tous en cœur et terminèrent la journée dans la joie et la bonne humeur

[fruitbasket83]

un ange et un démon
se rencontre alors que c'est interdit
tombe amoureux

[teter49770]

Bon. Ok, c'est un Ange. Mais qu'est ce que ça peut me faire ?
Bon. Ok, l'amour entre Anges et Démons, c'est interdit.
Mais déjà, nous n'avions pas le droit de se rencontrer...
Ils sont bien gentils, dans les bureaux de l'Administration, d'interdire le fait de croiser le chemin d'un Ange, mais quand ils nous envoient en mission, ils devraient AU MOINS faire attention !
Et puis il était tellement beau... Sa petite frimousse et ses yeux bleus m'ont tout de suite plût ! Et ses cheveux blonds... Merveilleux !
Le seul "inconvénient" dans cette histoire - mis à part que je sois tombée amoureuse de lui - est qu'il m'a empêcher de tuer cet homme d'affaire ! Non mais vraiment, si je devais lui trouver un défaut - a par que son côté Fleur Bleue m'insupporte - c'est qu'il m'empêche toujours de faire mon boulot ! Il est insupportable sur ce point là !
Par exemple, cet homme d'affaire voulait se suicider. Il était du haut d'un immeuble de 1000 étages et menaçait de sauter.
Comme il était stupide - comme tout les humains vous allez me dire - Il doutait encore un peu, ne sachant pas si c'était vraiment la bonne solution de se tuer.
Moi, bien sûr, en bonne Démon que je suis, je l'encourageai à sauter ! Pensez vous, ce pauvre homme n'était qu'un humain sans vrai valeur !
Et là, Qui voilà ?
Un satané Ange !
Bon, pas n'importe quel Ange, bien sûr, puisque j'en suis tombée amoureuse !
Non, c'est MON Ange !
Il s'appelle Gabriel !
Gabriel et Danaë, ça fait classe pas vrai ?
Bon, au début, il était pas vraiment charmé, mon 'tit Gaby. En fait, il était même plutôt réticent...
Il m'a même traitée de "Machine de Satan"...
Je lui ai envoyer une de ces gifles !
Non mais oh; je suis pas une machine !
Passons ces instants assez compliqués de notre relation !
Et puis après, il est tombé fou amoureux !
De toute façon, c'est bien connu, personne ne pourrait résister à ma beauté !
Et donc nous avons commencer à mieux nous connaitre, même si j'avoue que certains moments n'étaient pas faciles...
Par exemple ? A chaque fois qu'il me racontait comment il avait sauver telle ou telle vie, j'avais envie de pleurer devant tant de gâchis ! Et quand moi je lui racontait mes exploits, il se mettait à vomir... Ignoble !
Malgré cela, je l'aime. Malgré nos différences, le petit bout de mon âme qui détient un coeur lui appartient.
Et je sais que c'est réciproque.
Hier, j'ai été condamnée a ce qu'on me coupe mes ailes de démon.
Tant pis !
Si ils comprennent rien à l'amour...
De toute façon, permettez moi de douter que cela me rende gentille !
Et j'imagine Gabriel devenir méchant...
alalah... C'est pas beau l'amour ?

Une petite fille
Qui est poursuivie pas un homme malsain
Dans une ruelle sombre

[LittleRock]

Pourquoi est-elle partie ? Chaque pas qu'elle fait dans cette ville de sang qu'est Londres , glace un peu plus mon coeur .Elle connait mes pouvoirs,elle connait ma force, elle connait mes besoins alors pourquoi a-t-elle quittée ma source de vie , mon essence même ?
J'ai été crée par la plus puissante des sorcières Radbeard , Mazia ,pour que l'amour de sa famille soit éternel .Un pendentif dans lequel chaque membre a mit son pouvoir pour préserver l'unité à travers le temps . Je puise mon pouvoir dans leur amour et leur proximité , et aujourd'hui ma propriétaire , Katyane Radbeard a quitté sa famille pour aller aimer un humain . Des vacances à Londres se dit-elle ,mais moi ,son coeur ,je sais bien qu'elle ne reviendra jamais dans cette famille qu'elle souhaite oublier ,elle qui n'a jamais rêvée que d'être une fille normale ...
Sa famille la pleure et moi loin de l'amour ,je me meurt ...

Une étoile
dans une boule à neige
à Noel

[lecorbeau]

Wooh!A droite!Et à gauche!Wooh!Ouah!Si vous saviez à quel point c'est passionnant la vie d'une étoile dans une boule à neige. Au début,c'est très ennuyeux! Mais alors! C'est vrai,on est entassées les une sur les autres,à coté de voisines qu'on connaît pas,c'est nul quoi! Et puis ,un jour,on secoue la boule à neige et nous on virevolte,on danse parmi les autres étoiles. Après on fait connaisance les unes avec les autres,c'est comme ça que j'ai connu Christine,une autre étoile. Christine,elle aime pas trop le jour que les gens qui nous secouent appellent Noël. C'est Christine qui m'a dit que ca s'appelait comme ça. Elle aime pas parce que,enfin,vous voyez quoi. Christine,elle a le mal de mer. C'est le comble pour une étoile de boule à neige! Et les enfants,à cette fête,ils aiment bien nous secoué dans tou les sens. Ca les fait rire. Moi,j'adore Noël,parce que j'adore virevolter dans la boule. Je connais presque toutes les étoiles tellement j'ai été secouée. Il y a Martine,Justine,Eline,Carline,Maryline,.....et moi,Tartine. On a tous des noms en -ine. C'est bizarre ,hein!Wooh!Hi,hi!Youpi!C'est Noël!
-Christine!!!!
Christine,elle est collée au fond de la boule à neige. Je suis triste parce que je sais que,quand les étoiles sont collées,après,elles ne peuvent plus voler avec les autres. C'est Martine qui me l'a dit. Christine me fait un petit signe.
-Joyeux Noël Tartine!qu'elle dit.
-Merci Christine. Jouyeux Noël aussi!
Et Je virevolte encore et encore! C'est vraiment rop cool la vie d'une étoile dans une boule à neige!

Je me suis amusée!!
Un roi déprimé
chez une sorcière psychanalyste
en 1589

[Cazolie]

-Non euuuh, s'écria le roi
-Non ? Comment ça non?
-Non! Je suis le roi! quand je dis non c'est non!
-Ah mais moi je suis la Sorcière psychanalyste, alors ça suffit les caprices!
Le roi se leva, furieux, puis retomba sur son fauteuil. C'est fatiguant d'être déprimé.
-Je vous ferai coupé la tête ave cune hâche émoussée, grommela-t-il
La sorcière nota quelque chose sur un calpin et saisit un crapeau qui se trouvait à proximité.
-Si vous faites ça, je vous fait subir le même sort qu'à cet animal.
Le roi haussa un sourcil
-C'est à dire?
-Je vous transforme en crapaud! Et eut un grand sourire et jeta la bestiole dans le feu
-Et puis je vous mange!
- Mais ... A LA GARDE!
La sorcière le transforma en cube de bois, doté de 2 trous pour respirer.
-J'ai dit : CA SUFFIT LES CAPRICES!
Elle retransforma et lui demanda:
-Bien, maintenant que vous avez fini de faire le bébé, expliquez moi ce que je peux fair epour vous!
-Me laisser partir?
-Je ferai comme si je n'avais pas entendu.
-Eh bien, c'ets à dire que ... voilà en fait... c'était en 1588, il y a un an donc, j'avais un truc, que j'appelait le Nounours et puis...
-Ah! coupa la sorcière! C'était donc vrai! Un écureuil à volé le nounours royal!
Il la regarda avec de syeux ronds
-Vous êtes au courant?
-Mais enfin tout le monde le sait!
-Euh...
Elle agita la main et un Nounours apparu. Le roi bondit de son siège :
-NOUNOURS!
-Allez, partez, et pas d'infidélité à la reine avec la peluche hein!
Le roi ne remarqua même pas sa plaisanterie de mauvais gout et vécu heureux jsuqu'à la fin des temps en comapgnie de Nounours (et de sa femme bien sur)

Un nounours
dans une foret sombre
il ya fort fort longtemps

[LittleRock]

Il était une fois le nounours de Blanche-Neige qui en avait marre de l'entendre chanter à tout bouts de champs .Il s'enfuie donc dans la forêt ,profitant de la sieste de sa maîtresse avec un petit encas et s'enfuie dans la foret .La-bas il rencontra le petit Chaperon rouge qui lui donna de la galette ,puis la belle au bois dormant qui lui fit cadeau d'un fil de laine ,de Cendrillon qui lui offrit une pantoufle ,des trois petits cochons qui lui construisirent une maison au toit de paille, aux murs de briques et au sol de bois . Il rencontra une nounours et ils eurent un enfant . Un soir qu'ils étaient partis se balader dans la foret sombre ,une petite fille entra chez eux, mangea la galette ,se fit un manteau avec le fil ,se chaussa de la pantoufle et alla dormir dans leur trois lits . En rentrant ,ils la découvrirent et après qu'elle ai montrée sa gentillesse il l'invitèrent à rester chez eux . Mais le petit ours et la fille tombèrent amoureux et eurent un enfin appelé Bête . La Bête rencontra une jeune fille appélée Belle et tout deux adoptèrent une théière et un chien appelé Volt et furent heureux à jamais ...

[LittleRock]

Il était une fois le nounours de Blanche-Neige qui en avait marre de l'entendre chanter à tout bouts de champs .Il s'enfuie donc dans la forêt ,profitant de la sieste de sa maîtresse avec un petit encas et s'enfuie dans la foret .La-bas il rencontra le petit Chaperon rouge qui lui donna de la galette ,puis la belle au bois dormant qui lui fit cadeau d'un fil de laine ,de Cendrillon qui lui offrit une pantoufle ,des trois petits cochons qui lui construisirent une maison au toit de paille, aux murs de briques et au sol de bois . Il rencontra une nounours et ils eurent un enfant . Un soir qu'ils étaient partis se balader dans la foret sombre ,une petite fille entra chez eux, mangea la galette ,se fit un manteau avec le fil ,se chaussa de la pantoufle et alla dormir dans leur trois lits . En rentrant ,ils la découvrirent et après qu'elle ai montrée sa gentillesse il l'invitèrent à rester chez eux . Mais le petit ours et la fille tombèrent amoureux et eurent un enfin appelé Bête . La Bête rencontra une jeune fille appélée Belle et tout deux adoptèrent une théière et un chien appelé Volt et furent heureux à jamais ...

[LittleRock]

Une étoile
Dans une photo
En l'an 0
Désolé

[ge-choux]

Qu'est ce qu'il s'est bien passé en l'an 0 ? Très peu de gens se pose la question, c'est comme l'an 40, on en a rien à faire. Mais en l'an 0, et je me dois de vous le rappeler est né l'étoile des chrétiens, un enfant juif. Et oui, vous l'avez tous reconnu, il s'appelle Jésus. Né d'une mère vierge, ce petit devint rapidement une star parmi les habitants de son village et désira tout de suite plus de popularité. C'est ainsi qu'il se mit à poser pour le photographe Pilate, lui aussi un grand nom de son époque, bien qu'un peu taré parfois, je vous l'accorde. Après ces études couronnées de succès, Jésus devint charpentier et travailla consciencieusement sur la commande de Pilate. Loin du domaine des toits, c'est plutôt à l’ébénisterie qu'il s'attela et forma dans un bon bois une solide croix. Mais Pilate lui en demandait toujours plus. C'est comme ça que l'enfant de Nazareth dû livrer sa commande en haut d'une colline sous un soleil de plomb. Mais ça ne suffisait toujours pas ! Pilate lui disait encore "Monte sur la croix, mon petit et écarte les bras, je vais prendre une photo". Jésus pas mauvais bougre exécuta la demande de son client. Finalement, il ne réalisa qu'une fois revenu sur terre à Pâques qu'il s'était fais avoir comme un bleu. Jésus, le premier mannequin pour Lacroix, le premier model photo de Pilate.

Bon j'avoue c'est spécial, mais c'est ce qui m'est venu ^^.

Une poupée
Sous le sapin de Noël
Le jour de Noël

[EGih]

Ah. Elle soupirait. Depuis trois mois elle était enfermée dans cette boite en carton et plastique liée par des petites cordes. Dans sa robe rose avec des jolies fleurs avec des paillettes et avec ces longs cheveux blonds elle donna l’image parfaite de la princesse dans une prison.
Elle sentait l’odeur du sapin et des biscuits chauds à la cannelle. Elle avait été fabriquée en toute vitesse et vendu chère pour un enfant qui se lasserait d’elle, lui casserai vite un bras, l’oublierai dans le parc avec les autres poupées abandonnées par des enfants gâtés.
Elle aimerait être un enfant le jour de Noël et pouvoir ouvrir des cadeaux à coté de sa mère et de son père en faisant semblant de croire au père Noël.
Mais elle ne pouvait pas. Elle était juste une poupée, un cadeau pour faire plaisirs aux autres et pas à soi-même. C’était jour de Noël, mais pas pour tout le monde.

[EGih]

Pour le prochain:

Dans une piscine
En été
Une baleine


Bonne suite

[YsthKrys]

Ma maison est une piscine. Oui oui je vous assure !
Mais comment fait-elle pour vivre ? se demande sans cesse les gens.
C'est vrai ça, comment fais-je pour vivre ?
Moi qui suis une baleine bleue, le plus grand mammifère au monde !
Mais les baleines ne vivent-elles pas dans la mer ? s'étonnent tous les badauds.
Bien sûr que si ! voudrais-je leur répondre.
Eh bien la réponse est on ne peut plus simple : l'eau de ma piscine est salée !
Evidemment, comment pourrais-je vivre s'il en était autrement ?
Il faut réfléchir, avant de parler !
Mais la question qui s'impose à ce stade, à moi que vous ne soyez complètements demeurés, c'est : Pourquoi est-ce que je vis dans une piscine ?
Il me sera bien dur de vous l'expliquer, car la réponse à cette question, même moi je ne la connais !
Un jour je nageais libre dans le Grand Bleu, dansant dans mon ballet aquatique ; puis un autre, je me retrouvais ici, dans ce bac d'eau minuscule.
C'est complètement ridicule !
Mais que voulez-vous ? Je suis une baleine bleue. Comment pourrais-je m'enfuir d'ici , même si je le voulais farouchement ?

Voilà ! C'était amusant de me glisser dans la peau d'une baleine

En 3807
Un humain cryogénisé qui vient de se "réveiller"
Sur Terre

[Nobody-book]

- Cpokpvs !
J'ouvre les yeux et découvre un homme habillé en Tarzan. Où suis-je ? Je me souviens d'avoir été choisis pour être cryogénisé...Serais-je donc dans le futur ?
- Cpokpvs ! Bnj !
C'est de l'esbodbjt. Du nouveau français. Ça vient d'un gage qu'a eux la président de la république esbodbjtd. On doit désormais parlé avec la lettre qui suis celles du mot initiale. Ainsi bonjour devient "cpokpvs" et ami "bnj".
Après notre traumatisme mutuelle entre terrien nous avons décidé de vivre dans l’insouciance et l'amusement pour oublier.
Lorsqu'en 3807, j'avais accepté d'être cryogénisé, je n'avais pas imaginé que notre mode de vie se perpétuerait. Visiblement l'homme en face de moi ressort du carnaval journalier. Oui, chaque jour nous organisions un carnaval où l'on devait se déguiser le plus ridiculement possible. Généralement je m' habillais en fille...
- Do bnt tpnnd-opvt ?
- Do 3807.
Quoi ? Je n'avais pas traversé les siècles ?
- Ubou qjt ! Gbjtpt mb gfuf !

[Nobody-book]

Pas terrible mais je me suis éclatée !
un singe
dans un zoo
au Moyen-Age

(faisons comme si ça existait à cette époque )

[Decorem]

Dans le village de saint-mauricent, en des temps encien, appellé le moyen-age, il y avait une nouvelle attraction ou les yeux des enfant comme des parents s'emerveillé face au nouveaux jeux que le chef avait installé, Marie une jeune fille de 14 ans qui venait d'avoir une fille décida d'aller dans cette attraction en l'absense de son mari forgeron, dont sa soeur Paprenelle lui avait parlait, elle habilla chaudement sa petite de tissus de lin, et s'embobina sous sa cape grisate, elle parcourût les rues, en passant devans le boulangé, le libraire et la petite épicerie du coins, elle arriva devant une grande pancarte faite de bois licé ou était noté en grosse lettre noir "ZOO", elle y entra et commença a parcourir les chemins, elle vues des oiseaux multicouleur, des tortues et de jolie serpent mais ce qui la fit rigolé et l'ai plus marqué, était les singes qui ce froté le dos et ce senté les arrières treins, surtout UN singe lui fit retenir son attention, le pauvre était seul avec son regard triste et sans amis, dans les yeux du singe elle reconnut bien là son regard a elle le matin dans le miroir, ou sa vie de femme a la maison lui prenait tous sont temp et ou sa pauvreté lui fesait ressentir sa faim, elle ce rappela soudainement qu'il fallait rentré car son époux de 16ans devait bientôt rentré, elle ce dépécha en une marche rapide en serrant contre elle son enfant qui commencé a crier son appétit...

Voilà!
Un prince et une paysanne,un amour impossible
ou vous voulez
les temps encien(quand vous voulez mais pas au 21e siècle)

[lecorbeau]

Je revois ses yeux bleus implorant ma pitié,sa bouche tordue dans un rictus de peur,son visage plus beau que jamais. Je me reveille en sursaut,encore apeuré par ce rêve qui me hante jour et nuit depuis sa mort. Je sors,et,assis sur le bord du puit je me murmure notre histoire,esperant que ca la fera revivre. Une jeune paysanne,douce,simple mais terriblement belle. Un prince,promis au trône,coincé par l'étiquette. Une histoire d'amour impossible qui a conduit les deux protagonistes au pied du mur. Pire,au pied de la mort.J'entends sa voix me murmurer des mots doux et je m'entends, des trémolos dans la voix,lui promettre le trone et sa vie à mes cotés. Les larmes coulent et viennent se jeter dans l'eau du puit. Et puis, je revis dans mes pensées, ce soir de juin,où,après un duel avec mon père,je lui ait annoncé. Annoncé que j'étais fou amoureux D'Emiliane et que je la voulais pour reine. Mon père a accepté,ignorant que s'était une simple roturière. Pire encore,une paysanne. Quand,quelques jours avant le mariage,il a tout annulé,j'ai su qu'il savait. J'ai compris,bien trop tard qu'il l'avait trouvé. Qu'il avait vu mon Emiliane. Je hurle ma douleur à la lune. Je revois encore mon père m'emmener au cachot et me la montrer,agenouillée,en piteux état. Et mon cri de rage,je l'entends. Les rires de mon père se moquant de ma sotise,tout. Tout me revient douloureusement en mémoire. Et enfin,je refais le chamin vers le gibet,sachant que ma bien-aimée allait mourir. Je me revois. Je la revois,la corde autour du cou,les yeux errants pour me trouver. Et je la fixe dans mes pensées. Je sens sur moi son regard lourd de douleur et d'illusions. Et son chuchotement juste avant que le bourreau ne tire la corde:
"Adieu,mon ange. Adieu,mon prince. Adieu,mon Thomas."

une jeune fille
follement amoureuse du petit copain de sa meilleure amie
A notre epoque