Jeu d'écriture

[fruitbasket83]

Je sais que c'est mal, je le sais en plus c'est ma meilleur amie. Mais je ne peut pas m’empêcher de tomber amoureuse de son petit copain, il est si beau, si gentille, bref, il est merveilleux. Mais je me sens coupable de me sentir jalouse a chaque fois que je l'ai voit ensemble, je fait comme si j'avais quelque chose a faire et je part a tout vitesse. En plus c'est moi qui l'ai aidé et conseiller pour qu'elle réussisse a sortir avec lui. Et évidemment elle y est arriver car je sais tout de ses gouts, ce qu'il aime, ses préférence et du coup elle est devenu une autre personne pour sortir avec lui. J'en suis malade il sorte ensemble mais elle utilise un fausse personnalité si seulement je pouvais lui faire voir que ce n'est pas sa vrai personalité et que celle qui lui faudrait c'est quelqu'un de bien... comme moi LOL. Mais c'est vraie même si c'est ma meilleur amie je doit dire quelle est ... Bon on ma comprise. Mais je vais faire avec, qui a dit que avoir une meilleur amie c'était facile ?

Une fille lis un livre
Elle se retrouve dedans
C'est un livre fantastique avec des créature comme vampire, loup garous ange demon a vous de choisir

[loveitbooks]

Assise sur son lit , une jeune fille du nom d'Emma lisait son bouquin . Elle commençais le dernier chapitre ou une certaine Lola se battais contre des loup garou dans l'unique but de retrouvé son amour enlevé par ses chien mutant , quand tous a coup les lignes de son livre se brouillèrent , une spirale multicolore apparut , sa chambre d’adolescente s'éfaça peu a peu pour se transformer en champs de bataille ou les loups ses créatures maléfique essayait de tuer Lola qui donnait des coup d'épée a tous se qui osait s'approcher trop près. Emma n'était qu'un spectatrice , les loups-garou et les humains venus se battre avec Lola la traversaient comme ci elle n’était qu'une ombre personne de faisait attention a elle mais elle s'en moquait elle regardait Lola la guerrière , cette petite fille a la peau laiteuse , aux yeux vert et aux cheveux de braise . Emma chercha Théo l'homme que rechercher son héroïne , mais ne trouva que des cadavres raides et froids qu'avait laisser cette guerre ...Quand enfin elle le vit là allongé a demi mort , elle attendis que Lola arrive vu qu'elle ne pouvait intervenir puis la guerrière arriva , elle se jeta dans les bras de Théo pour lui chuchoter des mots d'amour ; Lola aida son bien aimé a se relever puis tous deux avançais tant bien que mal vers la route laissant derrière eux des visage figeai a jamais ... Puis le monde se remis a tanguer , les couleurs se mélangaient, Emma dut fermer les yeux et quand elle les rouvrit , elle se trouvais dans sa chambre allongé sur son lit . Son livre était fermé et elle ne l'ouvrirais plus car elle s'avait déjà la fin


. un garçon de 16 ans
.son père bas sa mère
. Il décide d'intervenir

[Chennelie]

Tom était étendu sur son lit, les bras croisés derrière sa tête.
Il commençait a en avoir marre des crises de son père. Parfois il aurait aimé une autre vie, changer de parents, tout recommencer. Depuis sa plus petite enfance, il avait vu sa mère se faire battre par son père. Elle qui était si gentille. Il était temps qu'il agisse, tant qu'il l'aide. Il avait grandis et n'était plus l'enfant pleurnichard qu'il était autrefois. Il se devait maintenant qu'il était un homme de protéger sa mère. Toutes ses années ou il avait pris des cours de boxe ne lui serviraient pas à rien. Dorénavant, il était sans doute plus fort que son père.
Le garçon se redressa et ouvrit les yeux. Sa mère ne criait plus. Il ouvrit brusquement la porte et sortit en trombe de sa chambre en se dirigeant droit vers le salon. toutes ces années ou il s'était sentit faible et impuissant face à son père contribuèrent à augmenter sa colère.
En voyant sa mère allongée sur le sol qui pleurait, il fit quelque chose qu'il n'aurait surement jamais fais avant, il accéléra le pas et sauta sur son père, le faisant tomber à la renverse.
Il le savait, en intervenant, il s'était mis en danger, maintenant, il avait intérêt à ne pas perdre le dessus sur son père. Qui sais ce qu'il pourrait lui faire pour avoir osé se rebeller?

Une princesse
Elle s'ennuie
dans son donjon

[B0o0uk-hein]

-Ho, la saleté ! Tiens.
Une grossière assiette en bois remplie d'un mélange douteux glisse sous l'embrasure de la porte.
Un rapide coup d'oeil suffit à me convaincre que je n'ai pas encore assez faim pour ingurgiter ce pain moisi trempé dans de l'eau sale.
Cela fait plus d'un mois que je suis enfermée dans cette prison de fortune.
J'ai eu le temps de m'habituer à la répugnante odeur de renfermé, aux courants d'air, à la moisissure sur les murs, au froid...
Mais, je n'arrive pas à m'habituer à la solitude.
Ma seule compagnie consiste en le sale type qui me livre des choses incomestibles tous les deux jours.
Je n'ai personne à qui parler. Personne à qui confier mes peurs, mes espoirs.
Je suis seule, enfin, non, j'ai les noms gravés sur les murs.
Les noms de ceux qui sont aussi passés par là, les anciens prisonniers qui ont été oubliés.
Les noms des personnes que mon père a enfermé.
Et à présent, c'est moi qui est enfermée ici.
Mon frère, roi aujourd'hui, m'a enfermée car j'avais sois-disant trahis le royaume.
Tout le Monde y a cru.
Je suis la personne la plus haie du Royaume à présent. Ils veulent ma tête à cause des beaux mensonges de mon frère. Comédien aidé par sa soif de pouvoir et d'argent, sa soeur lui faisat trop d'ombre.
Mais vais-je sortir un jour ?
Ou devrais-je plutôt me laisser mourir ?
Il ne me reste plus d'espoir, mais une part infime de moi a encore envie d'y croire.
Et, me laisser mourir serait un cadeaux pour mon frère.
Je ne veux pas lui simplifier la tache.
Je mourrais en me battant contre l'ennui et le désespoir. Si je ne deviens pas folle avant.
Parler toute seule et penser toute la journée, on ne peut pas dire que ça entretient la santé mentale.
L'isolement, la solitude et l'ennui. Le mélange parfait pour détruir une personne à petit feu.

Un(e) adolescent(e).
Perdu(e).
Dans les rues de New York.

[the_mistinguette]

- Ju' t'as vu la robe ? dis-je en tournant la tête pour faire face à ma meilleure amie.
Sauf que je ne vis pas Juliette, je ne vis personne. A part des milliers d'étrangers New-Yorkais qui se pressaient pour ne pas arriver à leurs rendez vous. La panique me submerge d'un coup. Où est-elle passée ? Ma mère m'avait bien dit de faire très attention à rester avec Juliette, parce qu'il y a avait des fous ici. Comme dans les films policiers que l'on voit à la télé.
Je cherche mon portable dans ma poche et me rends compte qu'on me l'a volé. C'est sûr que lorsqu'on vient avec un smartphone dans l'une des rues les plus populaires de New York, on peut être sûr qu'à la fin de la journée, quelqu'un nous l'a prit.
Je me rends aussi compte que je ne connais pas le plan de la ville et que mon anglais est pitoyable. Pourquoi est-ce que ça doit m'arriver à moi le jour de mes seize ans alors que je suis dans un pays étranger pour moi... Je me fais bousculer par un gros type habillé en style punk. Je tombe à la renverse.
Je décide de me relever et de faire tous les magasins, un par un pour chercher ma meilleure amie. Ce que je redoute le plus, ce n'est pas que je sois perdue, mais que Juliette soit avec un tueur...
Après avoir écumé toutes les boutiques possibles dans cette rue immense, j'en viens au fait, je suis perdue et ma meilleure amie est partie...

plage
couple
vacances

[ge-choux]

Le tableau était absolument magnifique. En face de nous, le monde était une carte postale. Sur la plage, il n'y avait que nous deux, les pieds coincés dans les galets. Hastings est une belle ville où il ne fait pas forcément bon d'y baigner en cette saison. Je portais des bottes en caoutchouc que m'avait prêté la mère de Tom. Lui, serrait sa doudoune contre lui, regardant l'horizon.
-Je n'aurais jamais pensé revenir ici un jour, souffla-t-il dans le vent qui arrivait sur la côte.
Puis il se tourna vers moi, les cheveux emportés par le vent.
-Mais tellement heureux d'être ici avec toi.
Il me fit son sourire magnifique, celui qui m'avait séduite le jour où je l'avais rencontré. Il me prit dans ses bras et me garda comme ça un instant. Mais le ciel, capricieux, se couvrit de gros nuages noirs remplis pluie. J'aurais aimé rester avec lui plus longtemps dans ces cailloux qui nous faisait mal aux pieds. Mais nous étions trempés jusqu'aux os, et nous préférions nous abriter sous un rocher creux qui bordait la plage. Le temps semblait passer à une vitesse folle. Je riais de lui et il riait de moi. Nos cheveux collaient à notre visage et nos yeux semblaient pleurer. Et puis l'averse passa, nous étions mouillés et sales : heureux.
C'étaient nos toutes premières vacances, et encore à ce jour, je le revois, les cheveux au vent, un sourire sur ses lèvres fines et son visage marqué par la douleur, les yeux remplis de tendresse. Il y a dans nos vis des instants simples mais magiques. Celui-ci peut sembler insignifiant, mais ce fut ce jour-là que je découvris que je ne pouvais plus le quitter. Il était beau, il était fort, peut-être un peu casse-pied mais assez rêveur pour nous deux. S'il y a un instant que je voudrais refaire dans ma vie, ce serait bien celui-ci. Pour retomber éternellement amoureuse de lui comme si c'était la première fois et pour laisser ce sentiment merveilleux envahir mon âme encore et encore jusqu'à la fin des temps.

-> Un homme
-> Découvrant une tragique vérité
-> En 2013

[fruitbasket83]

Il entra dans le labo, on venait de le convoquer pour une urgence. Son amie et collègue de travaille avait une expression sombre en regardant son ordinateur. Son collègue lui fis signe de s’assoir sans même une phrase, ni un mot. Il s'assis et posa les yeux sur l'ordinateur et ce qu'il y vit lui glaça le sang. Il regarda son ami incrédule.
-Ne me dit pas que ...
-Si mon amie, c'est une tragique vérité et il faut l’accepter : c'est la fin du monde.
-Combien de jours nous restent-il ?
-2 ou avec un peu de chance 3.
-Merde.
-Comme tu dit.
Non, impossible la fin, la fin de tout dans deux jours ? Pourquoi ? Pourquoi avoir crée un monde si c'était pour ensuite le détruire ? Un si beau monde en plus. Et tous ses enfants innocent qui en ce moment rie joyeusement et ses parents qui s'aime tendrement sans se douter les animaux si beaux et puissant d’espèces différente: tous sa va t-il disparaitre ? Je ne peut pas le croire, mais pourtant c'est la tragique vérité.

[CindySB]

Quels sont les trois prochains éléments ?

[fruitbasket83]

Oups, désolée j'était présser donc j'y est pas pensée
une famille
fête noël
ils ouvrent les cadeaux
C'est dans l'esprit de ses jours si

[lalounette]

Le pendentif d Ewan luisait sous le rare soleil de Londres.
Dedans se cachait une photo d un jeune homme vêtu d un costume d époque démodé, qui me souriait.
Ewan me la donné en me disant: "Garde le précieusement pour quand je ne serais plus là"
Je n ai pas compris avant qu'il ne me le mettes autour de mon coup, le pendentif brilla puis devint chaud, chaud,chaud,très chaud, puis trou noir je tombais évanouis.
Quand je me réveillais Ewan me tenait la main et le pendentif s accroché à ma peau pour ne plus s en décollé.

FIN!!!!

prochain sujet:
deux vampires
dans une forêt
en 1901

[Nausicaa-Okada]

La clarté de la lune inondait les deux inconnus, face à face. Leur peau brillait pâle et argentée dans la lumière.
L'un se tenait la poitrine, ses longs cheveux de jais lui tombant sur le front, sa main crispée tachée de sang, des souffles rauques sortant de ses lèvres.
Il tomba alors sur l'herbe gouttellée de perles de brume, terreuse des pieds qui l'avaient écrasée violemment toute la nuit.
"Rien n'est immortel..."chuchota-t-il en un dernier râle, ses yeux noirs fixés sur le vampire aux cheveux blancs.
Celui-ci passa lentement une langue satinée sur ses lèvres, essuyant le sang de son adversaire, puis tatta la pointe de ses canines, longues et effilées. Il remit son couvre-chef posé sur une roche de calcaire à quelques mètres et huma les ténèbres. L'année " 1901" promettait d'être pleine d'obstacles.
Détournant le regard de l'être à ses pieds, il s'engouffra brusquement dans les gouffres de la nuit.

[Nausicaa-Okada]

Mon texte est bien glauque... désolé !
Un chat
-sur une bouée
-en 2012

Bon courage !

[Nobody-book]

Le 21 décembre 2012 est arrivé. Le jour tant redouté. L'apocalypse.
Pour moi.
C'est le jour de mon bain.
Aujourd'hui, je plongerais dans la baignoire, remplis d'eau savonneuse. Je déteste ce vétérinaire qui, un jour, dit à mes maîtres que pour un chat, je n'étais pas assez autonome et qu'ils devaient me faire prendre mon bain, tel qu'on le ferait à un chien. Je n'ai jamais connu pareil humiliation ! Moi, pas assez autonome ! Tel un chien !
Aujourd'hui, c'est décidé, je prouverais à mes maîtres que je ne suis pas comme un vulgaire chien, je suis un chat, non d'une souris à polis ras ! Un chat !
J'escalade l'armoire où sont rangés les affaires de vacances et enfiles une bouée. Je me dirige ensuite dans la salle de bain, regarde mes maîtres qui semblent décontenancés par mon courage. Puis je saute.
Miaw ! Aaaaaaah ! Je..je me noie ! Au secours ! Miaw ! Miaw ! Aidez-moi !
Mes maîtres me sortent de l'eau en souriant puis me sèchent à l'aide d'une serviette et d'un sèche-cheveux. Je miaule tandis que je me dis que j'ai gagné une bataille, mais pas la guerre...

Un homme en fin de vie
Au cirque
En 1900

[CindySB]

Je me suis enfuis. Cet hôpital où je sais que je ne sortirai jamais me donne envie de tout détruire. Je n'ai plus aucune chance de survit alors pourquoi ne me laisse-t-on pas profiter du temps qu'il me reste ? J'ai 55 ans et je suis condamné. Une maladie grave et incurable. J'ai 55 ans, ni femme ni enfant : je suis seul. J'aimerai pouvoir réaliser un rêve avant de mourir. Je sais que ce ne sera pas celui qui consiste à devenir pilote de chasse, mais au moins en réaliser un petit. Depuis mon enfance, j'ai toujours rêver d'aller au cirque. Aujourd'hui, nous somme le 1er janvier de l'an 1900. J'enfile mon manteau gris et mon chapeau marron pour me dissimuler aux yeux des infirmières de l'hôpital, le temps de partir. Il ne me reste que quelques heures, quelques jours tout au plus... Je sais qu'il y a ce nouveau cirque en ville. Je vais au cirque. [...]

Les lions, les clowns, les éléphants, les funambules, les trapezistes ... J'ai des étoiles plein les yeux et... Je vois des étoiles ! Le monde se noircit autour de moi, tout devient flou, brumeux, je sens ma tête heurter le sol froid. Ma dernière pensée avant de quitter ce monde ? J'aurai connu le "nouveau siècle", j'aurai réalisé mon rêve d'enfance, et je n'aurai pas finit ma vie dans un lit d'hôpital. Je verse une larme de satisfaction, et je ferme les yeux définitivement, sans lutter, serein. Adieu.

Un chevalier Jedi
Dans Paris
En 2035

[dorianepapermoon]

Bon, puisque personne n'a l'air décidé à le faire je relance !

une sorcière
dans un petit village au cœur de la forêt
au moyen-age

[alassea]

Je courrais vers la forêt, prête à tout pour leur échapper.
Une flèche manqua ma tête de quelques centimètres, je me retournai et créai une barrière de feu, ce qui ne les retarda pas pour autant.
Soudain, un cri m'échappa, une flèche s'était plantée dans ma cuisse gauche, j’essayai de continuer mais cette course m'avait affaiblie, je m'écroulai sur l'herbe fraîche, à moitié inconsciente.
Ils arrivèrent, me lièrent poignets et chevilles, me hissèrent sur un cheval et me ramenèrent au petit village perdu au coeur de la forêt, où j'avais choisi de m’établir.
Quand je repris conscience, je me retrouvais ligotée à un bûché, désormais, je savais que je n'avais plus aucune échappatoire, mes pouvoirs étant trop faibles pour me téléporter.
Devant moi, la foule hurlait des insultes, un des leurs vint allumer la paille sous mes pieds.
Les flammes me léchaient le corps, créant une douleur insupportable, mais je m'obstinait à ne pas hurler, quand je le vit, à travers mes larmes mêlées au feu, lui, en qui j'avais confiance, mais qui m'a trahi en me dénonçant.
J'affrontais son regard de glace, un rictus cruel se forma sur ses lèvres, mais tout se brouilla devant mes yeux, la douleur se fit plus vive, et la mort m'emporta.

Un tigre à dents de sabre albinos
qui explore l'antarctique
en 2231

[Dreamless]

Il était tard.La lune seule éclairait le chemin.Elle tenait fermement le manche du couteau qu'elle avait à la main.Elle ne pouvait s'empêcher de tuer,c'était plus fort qu'elle.Malgré l'aide de nombreux spécialistes,ses démons reprenaient toujours le dessus.Elle avait réussi à s'échapper.C'était la première à y parvenir.Mais de qui allait-elle voir la lumière s'éteindre de ses yeux?De qui allait-elle entendre les vaines prières? Elle marchait dans une direction sans vraiment réfléchir.Comme d'habitude elle prenait les chemins isolés de campagne,elle n'était pas bête au point d'attaquer en pleine ville! Tout d'un coup elle s'arrêta.Elle avait toujours su qu'elle reviendrait ici... Mais maintenant était-elle prête? Tous les hommes qu'elle avait tués,tous lui ressemblaient... Elle cassa la fenêtre et entra.C'était exactement comme dans ses souvenirs,tout était à sa place.Elle se dirigea vers la chambre et le vit endormi,calme...Pourquoi lui avait-il droit au repos?Elle qui avait souffert par SA faute! Elle s'approcha et lui planta le couteau dans le coeur,là exactement où il lui avait fait mal des années plus tôt.En le voyant se débattre,elle ne put s'empêcher de penser qu'elle tuait le seul homme qu'elle avait aimé,l'être qu'elle chérissait le plus au monde... Mais la vengeance n'a pas de prix...

Voici mes conditions
un prisonnier /prisonnière
vient de s'échapper
au XVIIIe siècle

[lecorbeau]

Ce thème là,il est pour moi!!!

Le silence. Le silence puis les cris du peuple insatisfait aux portes de la prison. Nous sommes le 14 juillet. Je sais qu'aujourd'hui est le dernier jour de ma terrible détention. Ce que j'ai fait? Voler deux miches de pain à la table du roi. Un bien lourd tribut d'être enfermé à la Bastille pour deux misérables bouts de pain. Les gardiens qui m'entourent s'affolent et,dans la précipitation,l'un de mes geoliers fait tomber son trousseau. IL ne le remarque pas. Tant pis. J'attends patiemment que les gardes s'en aillent,que les prisonniers cessent leurs cris et que le peuple force la porte. Ca ne tarde pas. Dès que j'entends de plus belle les hurlements sauvages des Parisiens,je sais qu'il est temps. Je glisse ma main entre les barreaux de fer et je récupère le trousseau négligement oublié. Je perds quelques minutes à chercher la bonne clé mais je réussis assez rapidement à ouvrir ma "cage". Je n'hésite pas plus longtemps qu'un homme qui doit choisir entre l'enfer et le paradis. Mon premier geste en sortant de cette triste maison qui fut la mienne pendant six ans est de lever le poing en hurlant:"Vive la nation!"Les autres prisonners me regardent avec envie. Mais ils n'osent crier,ils n'osent me demander le trousseau. Ils n'auront pas eu ma chance. Ils périront,içi ou sur l'échafaud. Triste sort s'il en est. Je pars sans un regard vers mes compagnons de prison. La cohue est immense dehors et j'ai un mal fou à avancer dans la foule impétueuse et,qui plus est,à contre-courant. Mais j'y réussis et je souris cyniquement devant la tête du marquis de Launay,le chef de la prison,plantée sur un pique devant la porte. Il n'aura eu que ce qu'il méritait. La Bastille a été détruite le lendemain. J'ai regardé tombé ma prison,mon toit pendant six longues années comme on regarde tomber un feuille. Sans émotion. Je suis libre!




une jeune dame
à la cour de Louis XVI
tombée amoureuse d'un paysan

[lehiboubleu]

"Je me sens prête à vomir. Que fais-je au milieu de ce monde ? Telle une Princesse exilée en campagne chez quelques bonnes gens, je me sens de trop, pas à la place qui est la mienne. Ces gens ne pourraient jamais me croire si je leur disait qui j'aimais... C'est malsain, inimaginable pour une jeune fille de mon rang. Comme bien d'autres, j'ai été l'amante de Louis XVI. Je n'en ai tiré aucun souvenir agréable mais beaucoup de faveurs... Comme siéger dans cette salle de théâtre étouffante. Je ne me supporte pas, je voudrais échanger ma vie contre une autre. A quoi bon vivre dans une perle si on ne peut pas voir l'océan si proche ?

Lors d'une partie de chasse à laquelle j'assistais, il y a de cela 6 jours, je suis tombée dans un fossé. Personne ne me vit, personne ne vint m'aider.
Sauf ce jeune paysan.
Je ne voulais pas accepter sa main tendue mais j'y était contrainte, les autres m'avaient abandonnée et mes jupes se salissaient dans la boue.
Que dire de ce contact ? Le premier vrai geste qu'il m'ait été donné de voir, sans poudre ni arrière pensée, sans soif de pouvoir ni de profil...
Des yeux francs me regardaient avec stupeur et étonnement : Une dame dans mon état ? Et seule de surcroît...
Puis le Roi et sa cour me retrouvèrent et chassèrent le paysan.
Je me suis sentie vide après, comme une taupe qui connait enfin la lumière du soleil mais qui doit retourner brusquement sous Terre...pour toujours

Je me réveille brusquement ce matin, une émeute, la ville est en extase... Le Roi va mourir.
Sur le chemin vers la place, des corps s'amassent. Il y a eu des crimes en ce jour, ce n'est pas étonnant.
Soudain je reconnais un corps, ces yeux, ces traits... Non, ce n'est pas possible ! Je m'approche : mort. Ça sonne comme la dernière note d'un concerto magnifique qui vient à peine de commencer...
Je me rappelle juste d'être occupée à courir, vers la place de la capitale, ou la guillotine trône comme un géant parmi les hommes. Le Roi prononce ces paroles "Je meurs innocent".

Je ne respire plus, mon monde s'écroule, je sombres dans les ténèbres..."

[lehiboubleu]

Pour le suivant :

moine tibétain
En 2020, le jours de la fin du monde
Il contemple l'apocalypse et un tsunami qu'il accepte

[prissou79]

Pour le suivant :

moine tibétain
En 2020, le jours de la fin du monde
Il contemple l'apocalypse et un tsunami qu'il accepte

Le moine tibétain, ayant fuit son monastère, regardait quelque chose d'inconcevable. Il n'existait nul spectacle de même. 2020 avait été prédit mais personne ne l'avait cru. Et pourtant, c'est là, c'est arriver... La mort les attend tous, mais pourquoi un sort si cruel? Dieu les attend, c'est le jour de se repentir de ses péchés. La terre était voué à l'échec, de tout les façon possible. C'était la seule façon de la guérir. La terre malade allait bientôt être abreuvé par l'eau, et nourrit de leurs os. L'apocalypse est là, et un tsunami viendra bientôt le guider dans la mort.

[prissou79]

Pour le prochain !

-Un loup-garou
-Coincé dans du béton armée
-A la pleine lune, en 2013.

[Doubbe]

Pourquoi est-ce toujours mon imprudence qui me perd ?
Qui aurai cru me voire moi dans un bloc de béton la faim au ventre ?
Chloé aurai ri.
Moi pas, ce n est pas drôle
Satané année de malheur.
2013 ,13 malheur malheur à moi.
La fin du monde est proche.
Enfin pour moi évidemment.
Blocé ( bloké ?) à jamais.
Pour toujours DANS UN BLOC DE BÉTON!!!
Un loup-garou qui a soif très soif Grrrrrrrrr
Je fais peur ( un peu moin quand je suis coincé ,mais bon).
Je peux toujours mordre ouf.
Mais dans quoi ?
Dans du ciment?
Génial !
Super!
Trop cool !
Bon j en ai marre
Je veux sortir
Quand on veux on peux
Hahanah

[Doubbe]

Un sentiment
En train de prendre possetion d un coeur
À l'école

Désoler

[Poisson_rouge]

Tout d'abord il n'existait pas. Il était un soupçon d'idée, un vague concept. Ce temps là est révolu. Il a suffit d'une étincelle, d'un regard, pour mettre le feu aux poudres. Et Bang! il est apparu. Il s'est mis à me ronger de l'intérieur. C'est pire que la mort. Cette douleur lancinante dans la poitrine qui me rappelle que je ne pourrai jamais l'avoir ou même juste lui parler. Il est là constamment et même le cours d'art, celui que je préférait, ne peut plus me distraire. Il grossit tellement qu'il envahit mes pensées. Il m'envahit, me déchire, me brise pour mieux me contrôler. Il agit sur moi tel un poison ou encore un serpent qui étouffe doucement sa proie. Voilà. Le mal le plus infâme, le plus vicieux que certains considèrent comme merveilleux me tuait à petit feu: l'amour

héhéhéhé

- Une panthère blanche
- Qui est poursuivie par un magicien
- Dans une forêt

[Anaellerapet]

Elle courrait , fuyant cet homme, autrefois ci gentil avec elle, malheureusement ce magicien si serviable autrefois n'avait fait en faite que l'amadouer pour la tuer plus tard.Et ce monstre tuait tous ce que la nature lui offrait...toute vie était massacré, brûlé, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien. Alors elle courrait, plus vite que le son, plus vite que la lumière, la panthère- que la vie n'avait pourtant pas gâtée en lui donnant un pelage blanc- était maintenant la dernière de son espèce. Toute sa famille était morte. Elle avait juste réussi à trouver refuge dans cette forêt,une des dernière. Mais cet animal ne perdait pas espoir, elle continuait de courir ,de fuir pour échapper à ce monstre. Mais alors qu'elle sortait de la forêt, elle se retrouva au dessus d'un précipice ! Quel choix faire ? Sauter dans l'eau et rester libre jusqu'au dernier moment ou se laisser tuer par ce monstre , ce magicien fou ?
Alors qu'elle voyait la silhouette de son poursuivant aparraître derrière les arbres, la panthère sauta dans la cascade . Elle léssa l'homme continué de tout détruire mais elle mourut dans ce qui restait de vie à cette planète dévastée, qu'il avait détruit.


J'espère que ça vous à plus , je sais c'est pas très gaï mais je n'avait pas d'autres idées

1°) Une fille triste
2°)au 24eme siècle
3°) Dans une prison

[CandyF25]

Elle était recroquevillée sur elle même dans un coin de sa sombre et minuscule cellule… Les bras autour des genoux, résignée, elle essayait de respirer tant bien que mal. N’importe qui en regardant cette jeune femme de 25 ans qui avait du être forte à ses beaux jours, ne verrait que l’ombre d’un corps fragile, brisé.

Brisé, qui ne le serai pas en cette malheureuse époque ? Nous sommes en 2349 et le monde est a l’agonie partout l’air et irrespirable… Partout sauf dans ces quelque quartiers résidentiels ultra huppés sous dôme, ou les gens qui ont du pouvoir vivent, ou plutôt se terrent et se mettent des œillères pour ne pas voir les horreurs de dehors. Ces horreurs , la vie… La vraie ! Enfin la notre… Oui ce combat incessant pour respirer, manger et boire autre chose que cette pollution.

On se bat… JE me bat et voilà ou ça nous mènent… Je suis enfermée depuis 9 jours aujourd’hui dans cette prison, ou on ne juge important d’allumer les filtreurs d’air que de temps à autre quand le gardien s’en souvient. Tout ca pour avoir détourné les canalisations d’oxygène de l’état vers le maternité de mon secteur…
Je voulais donner la chance à ces nouveaux-nés de respirer… Et maintenant je meurs, j’essaye de respirer mais c’est si dur... Je pleurs face à mon impuissance. Je pleurs pour toutes ces injustices. Je ne suis pas un héro, pleurer c’est tout ce qui me reste.


Voilà ce que m'a inspirée ces mots!! Alors pour moi ça sera:
-Un jeune homme épris de liberté
-Lors d'un réception mondaine
-Dans un hôtel de luxe.

[Olinea]

La chemise blanche impeccable c'était bon. Le costume noir lui allait très bien. La cravate n'aurait pu être mieux nouée et ses cheveux semblaient avoir interdiction de bouger. Bien,très bien,il était parfait.
-Charles je suis si fière de vous,vous êtes parfait.
-Grâce à vos soins mère.
-Souriez un peu je vous prie qu'on voit vos belles dents blanches. Je n'ai pas payé cet onéreux médecin pour rien voyons.
Le jeune homme fit un sourire crispé qui se transforma vite en un relèvement naturel de ses belles lèvres sous le regard approbateur de sa mère. Comme toujours elle avait veillé au moindre détail. Elle n'était pas née riche,elle n'était pas née éduquée avec les bonnes manières des gens d'un certain milieu. Elle s'était juste mariée. Et maintenant que son mari était vieux et ridé,son fils était sa carte de visite,sa publicité. Elle l'emmenait à des soirées mondaines presque depuis qu'il savait marcher et il avait toujours été le petit garçon poli et charmant qu'on voulait qu'il soit. Avant il aimait ça,voir du monde,boire,manger,rire. Et puis depuis peu tout semblait faux. Il avait le goût amer de l'hypocrisie sur la langue. Il ne pouvait plus adresser la parole à quelqu'un sans se demander les réelles intentions de cette personne,ce qu'elle pensait vraiment,ce qu'elle attendait de lui et pourquoi.
Ce soir encore il allait pouvoir assister à une riche représentation comme on n'en faisait plus depuis un certain temps. C'était au Grand Hôtel à Paris et la plupart des familles descendaient de nobles gens. Il y allait avoir du champagne,des hommes qui se ressemblaient tous,des filles inintéressantes et des vieilles dames qui tâchaient de garder un bonne allure malgré leur âge. Tout ce qu'il détestait. Sa mère lui prirent le bras aussitôt qu'ils descendaient de voiture et l'entraîna d'une allure si vive que Charles se demanda si elle craignait qu'il s'échappe. Mais évidemment ce n'était pas son genre. Il en avait bien envie,se promener tranquillement le long de la Seine,fuir la musique et la foule,dîner avec quelques amis dans un petit restaurant que personne ne connaissait. Mais malheureusement en bon petit garçon,même à son âge,il restait avec sa mère.
Lorsqu'ils entrèrent la musique était déjà forte,une grande compagnie apparemment,et les boissons coulaient à flots. Le jeune homme eu le droit à la tournée des bonjours dans les exclamations et le bruit des bises. Sa mère semblait lancée dans un parcourt connu et lui suivait en essayant de garder un visage amical. Il serra la main de plusieurs hommes qui l'appelaient par son prénom alors qu'il n'avait aucune idée de leur identité. Il fit l'effort de discuter avec quelques connaissances,certaines avaient l'air de vouloir s'échapper autant que lui mais aucune ne le montra ouvertement. D'autres paraissaient ravies de se pavaner devant tout le monde. Il avait un peu chaud et regardait autour de lui à la recherche d'une échappatoire. Ces gens l'étouffaient,l'ennuyaient et le désolaient par leur sourires factices et leurs grands éclats de rire. Puis ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Sa mère avait réussit à le pousser vers Viviane Delacour. Cela faisait maintenant presque un mois qu'il ne l'avait pas vu,dieu merci. Il l'évitait autant qu'il le pouvait cette garce collante qui se sentait si supérieure mais sa gardienne semblait décidée depuis un an déjà à les marier. Au XXIème siècle. Charles ne pouvait plus supporter cette conduite. Il leva les yeux vers la jeune fille. Elle avait des lèvres pulpeuses qu'elle mettait en valeur en les frottant toujours l'une contre l'autre. Il la vit commencer à les ouvrir,signe qu'elle allait lui parler,lui dire quelque chose comme
"Vous m'avez manqué Charles"
Ou encore
"Je n'ai pas eu de vos nouvelles depuis un moment et vous n'avez pas songé à prendre des miennes. Mais je vous pardonne pour votre sourire d'ange"
On ne parlait plus comme ça depuis plus 50 ans. On n'avait pas cette attitude depuis l'époque de nos arrière-arrière-grand-parents. Même ses habits était rattachés à une autre époque. Son cœur parut s'arrêter un instant et là il ne réfléchit plus. Il se retourna d'un mouvement brusque qui surprit Viviane,mais pas autant que ce qui suivit. Il cria presque ce qui ressemblait à "Merde,merde,merde,merde" et s'enfuit en courant,aussi vite qu'il pouvait. Il vit des gens se retourner sur son passage mais il n'en avait rien à faire,il bouscula quelques personnes sans avoir l'air de s'en soucier et une fois arrivée à l'entrée il poussa la lourde porte avec une brutalité singulière. Une fois dehors il respira un grand bol d'air frais,jeta sa veste et se remit à courir. Enfin,enfin il se sentait libre,et il les envoyait tous balader. Pour une soirée personne n'aurait à lui dire ce qu'il avait à faire. Il longea la Seine la tête vers le ciel.
"J'aurais du faire ça depuis longtemps ! Merde comme ça fait du bien !"


Alors
Une jeune femme charmeuse
Dans les années 90
Dans un bar

[leaszecel]

Je me souviens, c'était une horrible soirée d'automne, (en 90, je crois) pluvieuse a souhait comme je les déteste. Elle était là, assise sur ce tabouret, dans ce foutu bar miteux qui s'appelait "Le pop's". Elle avait l'air tout à fait normale comme jeune femme. Je me trompais, mais alors la, royalement. Je venais de rompre et j'en tenais une sacrée couche, vu que je vagabondais de bars en bars. Elle m'a directement fait signe de venir m’asseoir et moi, je ne me suis pas méfié. Je me suis assis et elle à tout de suite attaquée comme une vraie charmeuse:
-Qu'est-ce que je peux vous offrir ?
-B-B-Bah tant que c'est... hic fort j'accepte.
-Alors, un gin tonique pour moi et un truc bien fort pour monsieur s'il vous plaît.
Le barman nous a servi nos verres et j'en ai profité pour l'observer mieux à travers du brouillard que provoque l'alcool: elle était blonde, d'un blond comme les blés, avec des yeux bleus comme un beau ciel d'été et de belles lèvres pulpeuses. Le reste je dois bien l'avouer je l'ai oublier. Après encore quelques verres elle a proposé que je passe la nuit chez elle et, vu que je n'était pas en état de refuser j'ai accepter. Le lendemain je me suis réveiller dans un lit inconnu, nu comme un ver et avec de petites marques dans le cou. J'ai cru au début que j'avais juste eu à faire à une simple allumeuse comme il y en avait dans ces bars des années 90. Mais je ne m'expliquais pas les marques dans le cou. C'est alors que j'ai entendu du bruit et que je me suis vêtu à la hâte de mon slip et de mon pantalon quand elle est entrée. J'ai eu un choc. Elle était d'une beauté...surnaturelle.Hier je n'avais pas remarquer se teint si pâle, si frais, se magnifique corps mouler dans un jeans et un petit pull pourpre. Et puis il y a eu ce si minuscule petit détail qui a tout fait basculer et qui m'a fait comprendre que se n'était pas une charmeuse comme dans tout les bars miteux . Là, juste à la commissure des lèvres dégoulinait un liquide rouge. Du sang. Mon sang.

un jeune démon impulsif
du XIXe siècle
dans une prison