Alors, j’attends...[Harry Potter]

Vous écrivez une fan fiction et vous voulez la partager avec la communauté Booknode? Faire vivre à vos personnages favoris des aventures inédites?
Alors postez vos textes ici afin qu'ils soient bien différenciés des essais classiques tout droit sortis de l'imaginaire d'autres booknautes.
Répondre
Roomsinside852456

Profil sur Booknode

Messages : 58
http://tworzymyatmosfere.pl/poszewki-jedwabne-na-poduszki/
Inscription : ven. 14 nov., 2014 12:06 am

Alors, j’attends...[Harry Potter]

Message par Roomsinside852456 »

Coucou, je partage ici un one shot que j’ai écrite au sujet du mystérieux serpentard : Blaize Zabini aussi séduisant, fière et riche que notre blond préféré Draco Malfoy.
ATTENTION :!: Il y a des sujets et des propos qui peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes alors je déconseille à des personnes sensibles et stressées de la ficelle ;) :lol:
Bonne lecture !



Manipuler le temps est illégale et n'est pas sans danger. Un coup de baguette magique peut détruire le futur et peu de sorciers en sont revenus indemnes. Voilà pourquoi au lieu de te faire apparaître devant moi, je garde les yeux rivés sur le cadran de ma montre et ses aiguilles-escargots. Elles semblent s'être liguées contre moi, ce soir, et restent plantées à ne rien faire sur les mêmes chiffres. Peut-être leur as-tu jeter un sort ? Peut-être est-ce de ta faute ? Tu es là et le temps court, vole, saute des heures mais s'allonge et s'endort lorsque tu es loin de moi. Alors j'attends. J'attends à la fenêtre du salon que la lune rattrape le soleil, que la nuit dévore le jour. Je te guette.

La voix nasillarde de mon secrétaire s'élève du téléphone délaissé à mon oreille, m'obligeant à replonger dans la conversation :

-Monsieur, vous êtes là ? Allô ? Monsieur !
Je rabats les rideaux d'un geste brusque.

-Oui, je suis toujours là. S'ils désirent garder leurs emplois ainsi que leurs têtes, qu'ils obéissent ! C'est un ordre de Blaise Zabini, je siffle furieux.

Encore quelques menaces murmurées et je raccroche prêt à balancer l'appareil sur le mur quand je me rends compte que mes doigts sont enroulés comme un serpent autour du portable presqu'à le briser. J'aurai préféré refermer ma main sur le petit cou du couturier capricieux qui me faisait un scandale à l'entreprise.
Reprendre la maison de couture familiale n'a pas été une mince affaire après la mort du Seigneur des ténèbres mais je ne regrette rien. J'ai fait ce que j'avais à faire. Porter la responsabilité de mes actes pèse assez lourd sur mes épaules et mon nom sans m'encombrer de regrets inutiles. Aujourd'hui, la famille remonte la pente, un moins-que-rien ne peut rien faire contre moi. Rien ! Inspirer, expirer. Ma chambre sent ton odeur et je ne peux pas m'empêcher de ressentir une satisfaction virile. Je te garde prisonnière malgré toi. Le parfum léger marche sur le tapis vert profond, il s'accroche aux meubles et reste me hanter. Je me remplis les poumons à défaut de remplir ton corps et chaque respiration, chaque battement de cœur résonne comme un tic-tac me rapprochant un peu plus du moment où tu passeras la porte. Tu arrives. Déjà plus calme, j'abandonne le téléphone sur la table basse en desserrant ma cravate d'une main. Mon manteau noir et ma veste de la même couleur tombent au sol, ma journée de travail étouffe dans le tas de vêtements à mes pieds. Je rejoins le bar afin de me servir un verre de whiskey pur-feu et me dirige vers le fauteuil qui m'accueille dans un soupir de cuir. La première gorgée fait son effet petit à petit, aidée par la deuxième et la troisième au rythme du choc cristallin des glaçons contre le verre. La musique douce de l'alcool chasse le silence qui, à force de se taire parlait trop. Il médisait, chuchotant des moqueries sur tout ce qui manquait dans cette pièce obscure et froide : des sourires au coin des murs, des baisers sur les oreillers, des joues roses en bouquet, la danse dans le cœur, des chaussures au plafond. Je n'ai pas besoin de regarder pour savoir que tout est à sa place rangé, empaqueté, enterré. Lasses, mes paupières se ferment, cherchant le repos. Quelques minutes plus tard, la porte de l'appartement s'ouvre et laisse entrer la lumière des petits rires qui résonnent dans la pièce, qui remplissent le vide dans les coins et occupent mon cœur tout entier. Enfin...

Tes pas irréguliers résonnent comme des gouttes de pluie sur les carreaux. Tu sautilles, je le devine. Les yeux toujours fermés, un poing contre ma tempe, j'essayes de percevoir avec tous mes sens, le moment où tu entreras. Une douce mélodie fredonnée me parvient avant toi, ton parfum frais et sucré toujours discret vient me chatouiller le nez. Je le goutte presque sur le bout de ma langue et un sourire fleurit sur mes lèvres car ce goût, je l'ai savouré sur tes doigts, je l'ai bu à tes lèvres. Il m'est familier. Mon cœur bat plus vite au fur et à mesure que la mélodie se rapproche. Et tu es là, devant moi. Je ne te vois pas encore, je fais durer la souffrance. [La peur est aussi là dans un petit coin sombre derrière mes paupières. Et si tu n'étais pas là, et si j'ouvrais les yeux sur une pièce vide ? Je ne veux pas faire fuir même une illusion de toi. J'aimerai la garder.] Et les pas, et la chanson s'arrêtent. J'en ai l'habitude à présent, tous les soirs, nous vivons le même rituel. Ce "nous" qui n'existe que dans mon imagination et ne vit que dans cette pièce.

Tu restes sans bouger sur le seuil à m'observer, attendant de voir à quel point je te désire. Alors j'ouvre les yeux pour les poser sur ton corps qui frisonne. Je me gave de toi, ton visage, ta peau que je caresse avidement du regard. Les couleurs éclatantes détonnent de gaieté dans mon appartement aux tons noir et vert bouteille. Mais rien ne résiste à l'arc-en-ciel qui naît de ta peau. Une robe verte aux motifs de fraises rouges pétantes semble avoir une vie à elle seule, l'ourlet jouant avec les collants bleu parsemé d'étoiles jaunes. L'une des chaussettes rayées tombe à tes chevilles sans le soutiens de bottes et je remarque qu'elles sont tachées de terre. Lorsque je lève un sourcil interrogateur, tu souris malicieusement en haussant tes frêles épaules pâles comme la neige pour me dire qu'on n'y pouvait rien. Le mouvement fait frémir la boule d'herbes et de fleurs folles que tu tiens dans tes bras. Un entrelac de tiges, de lianes, de feuilles aussi fouillis que tes idées, surmonté de boutons de minuscules fleurs aussi blanches que tes cheveux. Mon soupir d'exaspération se mélange de tendresse pour la fée des bois qui semble à l'étroit dans une pièce, à l'étroit dans sa peau. D'un geste de la main, je te montre un vase rempli d'eau qui vient d'apparaître sur la table basse. A chaque pas, les fleurs paraissent danser et je les envie d'être dans tes bras. Cette place n'appartient qu'à moi !

Après avoir négligemment placé le bouquet dans son récipient, tu chuchotes des confidences aux pétales qui rosissent de plaisir.
Je n'en peux plus d'attendre. La tension monte dans les muscles de mon dos que je tente de soulager avec de légers roulements d'épaules. Mais rien n'y fait. Je te veux. Maintenant ! Comme si tu avais entendu mes paroles, tu tournes enfin vers moi tes yeux bleus qui m'engloutissent, qui lisent en moi. Chaque rayon de lune qui passe par la fenêtre se reflète sur l'ivoire de ta peau et je me perds un instant dans la contemplation d’un ange de Dieu. Tu es tellement lumineuse ! Les ténèbres jalouses m'enveloppent comme une couverture pour me garder contre elles. Doucement, délicatement, à la façon d'un oiseau, ta tête se penche de côté et ton expression se fait perçante.

Tu me sens me perdre dans l’obscurité écrasante de mes pensées. Alors ta tête viens naturellement se poser contre ma cuisse. Avec ta main posée sur mon genoux, tu me rappelle à toi. Mon corps engourdi un instant, flambe maintenant de désir et je durci
douloureusement coincé dans mon pantalon . Le point de contact entre nos deux corps est un brasier de désir et me ramène à la réalité. Le souffle chaud de tes lèvres est proche de mon entrejambe et imaginer l’humidité de ta bouche me pousse à l’agonie. Je ne pense qu’à toi, je ne respire que toi. Tout en moi est prisonnier de tes doigts. À mes pieds, tu sembles soumise et docile mais tu me domines comme aucune autre, petite serdaigle.

À présent que tu as obtenu mon attention tu sais ce qui t’attends.

-Lèves les bras

À genoux, les yeux baissés humblement, tu t’exécute et je retire ta robe. Le doux bruissement du tissu sur ta peau me met les nerfs à vif. Tes seins libres et fermes pointent pour me séduire mais j’ai tout mon temps pour les goûter, les caresser, les marquer de morsures alors je continue mon inspection en les savourant avec mes yeux.

-Debout

Je m’empare de tes mains et les posent sur mes épaules pour que je puisses te débarrasser de tes chaussettes puis de tes collants opaques. Lentement je les fais rouler en laissant mes doigts labourer la chair tendre le longs de tes cuisses et de tes mollets. Ils tracent des sillons blancs sur ta peau rosie par l’excitation. Nos positions sont renversées. À présent tu es au-dessus de moi et cette situation fais trembler tes jambes. Tu me veux, je l’entends à ta respiration trop rapide, je le sens au parfum qui embaume ton sous-vêtement. Une odeur musquée, sensuelle, une odeur de femme qui explose lorsque je glisse les mains sous l’élastique de ta culotte rose. Tu es mouillée pour moi. Un grondement de plaisir m’échappe. Ton soupir satisfait me fait perdre le contrôle et je déchire le dernier rempart qui me sépare du cœur de ta féminité. Plus rien ne te cache à mon regard à présent. Mes mains sur tes hanches, je fais glisser mon nez sur ton ventre en cercle de plus en plus petit autour de ton nombril jusqu’à venir chatouiller les fins duvets blonds qui se trouvent en dessous.
Parfois, les hommes oublient combien le corps d’une femme recèle de zones érogènes. Moi, je n’oublie pas. Je n’oublie pas à quel point ton corps s’est modelé selon mes désirs. Je t’ai créé pour mon plaisir et j’exulte lorsque je vois les muscle de ton ventre se contracter sous mes yeux. Je jouis en sentant ta peau parcourue de frissons, tous les poils redressés. Ils attendent patiemment la caresse douce de ma langue qui ne tarde pas à arrivé. Je veux te goûter, me gorger de ta saveur.

Tu m’es agréable au-delà des mots. Le sentiment qui fait battre mon cœur à cet instant est bien plus que de l’envie. Tu m’as laissé te faire cela, c’est à moi et moi-seul que tu as accepté de te soumettre. La reconnaissance se répand comme une douce chaleur dans ma poitrine qui se sert de joie.

Sans prévenir, je me détourne de ton aine pour te prendre la main. Toutes nos différences sont cristallisées dans ce simple geste plein de tendresse. Ma peau foncée te fait paraître plus irréelle encore. Blancheur contre noirceur, lumière et ténèbres, pureté et souillure. Assis sur le fauteuil, je dépose avec révérence un baiser dans le creux de ta paume avec l’adoration que l’on réserve aux Dieux. Car tu m’as sauvé. Tu m’as obligé à vivre quand tout me poussait à mourir. Toujours avec révérence, je viens faire de même sur le pli du poignet. Tu es si frêle que ma main en fait le tour sans difficulté. Mais jamais tu ne t’es plainte, jamais tu n’as brisé l’échine devant moi sans l’avoir désiré. Et comme je l’ai convoité.
J’ai capturé ton corps par le sexe mais ton cœur lui, se dérobe. Il s’offre puis se retire tour à tour et me mène par le bout de la baguette.

Mais j’en veux toujours davantage.

Je me jette sans prévenir sur ta bouche et écrases tes lèvres des miennes pour étouffer ta surprise. Enfin…enfin ! Mes doigts tremblants plongent dans ta chevelure pour l’empoigner et tirer vers le bas à t’en faire mal. Pourtant, c’est un soupir de pur extase qui quitte ta bouche ouverte. Je le cueille avant qu’il ne s’éteigne et part à sa conquête en glissant ma langue à la rencontre de la tienne. Ton cou est tendu, ton dos arqué car je n’ai pas relâché la traction que j’exerce sur tes cheveux.

J’explore, je titille, en te poussant à reculer vers la chambre à coucher, en te faisant franchir tes limites.

Mais j’en veux toujours d’avantage.

Nous continuons à nous embrasser et je mène la danse de nos langues qui se caressent, de nos dents qui s’entrechoquent et de nos salives qui coulent de nos lèvres.

Mais j’en veux toujours davantage.

Je te demande tout, et t’arrache ton plaisir par la force. Ma langue te pénètre brutalement comme j’aimerai le faire avec ta féminité. Enfin arrivés où je le voulais, tu halètes et te frottes contre mon sexe dressé, comme une vulgaire putain en manque. Tu m’allumes sans pudeur en m’obligeant à perdre le contrôle et te prendre tout de suite. Tu appelles la jouissance avec impatience sans prendre le temps de la souffrance mais ça ne se passera pas comme ça ! Je décide quand et comment !
Pour te rappeler ton rang, je te mords la lèvre inférieure jusqu’à ce que l’arôme de ton sang se distille sur ma langue. Un frisson nous secoue et je m’arrache à toi pour te retourner dos contre mon torse. Un hoquet de stupeur résonne dans la pièce plus intime. Face au grand miroir de la chambre, tu te tiens debout, glorieusement nue, ta peau pâle, rougie à certains endroits, humide de sueur et de plaisir. Ton corps merveilleusement impudique, les pointes de tes seins dressés fièrement. Mais ton regard…les pupilles dilatées à l’extrême, tes yeux me supplient de te faire mal, de te briser pour mieux te reconstruire. C’est une expression de pur extase qui se peint sur ton visage d’ordinaire si sage et si innocent. La personne que tu es hors de ses murs ne connais pas celle que tu deviens entre mes mains. Tu te transforme pour moi, pour toi. Et regardes comme tu es belle !

-Ne détourne pas les yeux ! Je t’ordonne avant de saisir ta mâchoire et ramener ton visage baissé bien en face du miroir. Regarde-toi !

Et tu le fais, tes yeux glissent sur la surface lisse de la vitre qui reflète mal la courbe de ta nuque, la douceur de tes cuisses, la chaleur de ton sexe.

-Maintenant je veux que tu me montre à quel point tu en as envie, à quel point tu me désire.

L’humiliation d’un tel ordre fait trembler ton corps en entier. Etre soumise comme je le demande signifie encore remettre ton plaisir à mon bon vouloir, ne plus avoir aucune emprise sur ce qui se passera ce soir. Si tu m’obéis, il n’y aura plus de retour en arrière, tu m’auras avoué ta concupiscence, tu demandera à être baisée et rien ne me fera plus plaisir que de le faire. Et tu le sais, mes désirs, ici et maintenant, passent avant les tiens.

Alors, toujours tremblante, tu t’agenouilles une fois encore devant moi, le miroir nous reflétant. Ta tête vient chercher la caresse de ma main comme le ferai une chatte.

Doucement, tu viens frotter ta joue contre le dos de la main presque avec un ronronnement de plaisir. Et lorsque tu ouvres enfin la bouche, les mots qui en sortent sont une mélodie à mes oreilles.

-S’il vous plaît, maître, faites moi oublier.

Oublier le monde du dehors, oublier le passé et ses morts à la pelle, le besoin d’être forte pour tes amis et tes proches ; Potter, Weasley et Granger surtout qui continuent à vouloir changer le monde. Et toi silencieuse et transparente à leurs côtés, un pilier, une oreille, une conseillère. Pour un instant, tout laisser tomber et n’être que toi. Une femme, un corps, un gémissement de plaisir.
Voilà ce que tu me demande ce soir. Tu me fais confiance pour te mener sur la corde raide entre souffrance et jouissance et cette responsabilité me fais tourner la tête plus vivement qu’une bouteille d’alcool. De la joie fait battre mon cœur dans ma poitrine et du désir brut fait durcir ma verge dans mon pantalon.

Et quand je rencontre mon regard dans le miroir, de la peur.

Je veux que tu aies besoin de moi comme j’ai besoin de toi. Je veux que tu ne puisse plus vivre loin de moi car si jamais tu t’en allais, je ne saurais plus comment respirer.
Nos yeux se croisent alors dans le miroir et une promesse : tu ne me laisseras pas seul et je ne te laisserai jamais partir.


-…ze…Blaize…BLAIZE, RÉVEILLES-TOI !!!
Je sursaute. En un mouvement, je saisi ma baguette sous l’oreiller pour la pointer vers l’intrus. Ou plutôt les intrus.

Theo et Pansy se tiennent tous deux au-dessus de moi, Theo avec un sourire narquois et Pansy, une moue exaspérée. Il me faut un moment pour me connecter et je tourne la tête vers la droite mais la place près de moi est vide et froide. Tu es partie il y a un moment déjà. Ma gorge se serre et je sens les larmes me monter aux yeux. J’inspire profondément pour me calmer et faire face dignement à mes amis.

-Qu’est-ce que vous foutez là ? Et puis, quelle heure il est, bordel ?

-Il est 10h49 et Draco est à l’hôpital. Il s’est passé quelque chose à Azkaban. Nous allons le voir.

Theo énonce les faits et je vois à son visage qu’il est perturbé. Ma réponse importe peu, il a déjà décidé pour moi. Toutefois, en quittant la chambre, Pansy me lance avec un rire moqueur :

-Avant de partir Blaize, prends une douche. Tu sens le foutre à des kilomètres !
creel

Profil sur Booknode

Messages : 11
Inscription : lun. 11 juin, 2018 12:17 pm

Re: Alors, j’attends...[Harry Potter]

Message par creel »

Waouh, rien à dire tu excelles toujours autant dans les figures de style. Toutefois, la romance n'est pas trop mon rayon :? bien que j'en lis.
Mais sinon rien à dire. J'aimerais juste savoir dans quel tome et à quel moment tu introduirai cette partie parce que la fin me laisse perplexe; vivement une suite ;)

Creel
Roomsinside852456

Profil sur Booknode

Messages : 58
Inscription : ven. 14 nov., 2014 12:06 am

Re: Alors, j’attends...[Harry Potter]

Message par Roomsinside852456 »

Ho t’es chou ! Merci beaucoup d’avoir lu ce petit truc.
En fait, la scène se déroule des années après la guerre et donc la fin des reliques de la mort. Voldemort, bin est mort (mdr) et Severus aussi. Harry et Ron sont des aurors et Hermione travaille au ministère. Pour les Malfoy, seule Narcissa a échappé à la prison, son fils et son mari sont enfermés à Azkaban.
Mon projet est depuis longtemps d’écrire un dramione et cet os est comme un spin-off. Mais bon, ça avance en mode escargot XD
Merci encore d’être passé et d’avoir commenté Creel.
Bise :D


Dernière remontée par Roomsinside852456 le sam. 19 janv., 2019 11:59 am.
Répondre

Revenir à « Fanfiction »